(Article partenaire) Si vous êtes expatrié·e aux États-Unis et que vous souhaitez préparer correctement votre retraite, vous vous posez certainement pléthore de questions. USAFrance Financials, cabinet de gestion privée dédié aux Français résidant aux États-Unis, nous éclaire sur les erreurs à éviter et les bons réflexes à avoir.
“Beaucoup d’incertitudes entourent la question de la retraite pour les expatrié·e·s aux États-Unis”, confie Cédric S. Sage, fondateur de USAFrance Financials. “De nombreuses personnes sentent qu’elles ne sont pas prêtes, qu’elles ne cotisent peut-être pas assez, ou bien ne savent pas vraiment par où commencer, ni comment faire afin de consolider leur retraite française et la Social Security américaine.”
Aux États-Unis, le taux de remplacement des revenus de retraite fourni par les instances gouvernementales étant plutôt faible, en comparaison avec la France, il s’agit donc de pouvoir combler ce manque. Historiquement, c’étaient les compagnies qui s’occupaient de fournir à leurs employé·es une pension. Or, depuis les années 70, celles-ci ont, petit à petit, limité voire supprimé ces avantages.
De fait, le risque a été transféré sur les épaules de l’employé·e pour se constituer sa propre retraite, qui devra utiliser un programme de retraite tel que le 401(k), 403(b) ou encore IRA. Mais, même si l’employé·e a bien connaissance de ce qu’il ou elle a versé sur son programme, il demeure complexe de savoir exactement comment ce capital accumulé va se matérialiser en termes de revenus de retraite.
« Les Français ont tout naturellement tendance à penser à leur retraite de la même manière qu’ils l’auraient abordée en France », affirme Cédric S. Sage. C’est-à-dire ? L’idée est d’accumuler un maximum de patrimoine que l’on aura, bien évidemment, diversifié et optimisé fiscalement au cours de sa vie. Arrivé à la retraite, il s’agit ainsi de vivre des rentes générées par ce capital financier et/ou immobilier. Lors du décès, le patrimoine restant sera transmis aux héritiers.
Malheureusement, même si cette stratégie semble être la meilleure stratégie à mettre en place en France, « c’est une stratégie probablement vaine voire vouée à l’échec si l’objectif est de pouvoir garder son style de vie, » continue Cédric S. Sage.
Pour bien préparer sa retraite, il ne suffit pas de mettre de l’argent de côté, loin de là. Il s’agit d’anticiper les risques financiers qui pourraient réduire vos efforts à néant, en particulier sur un marché tel que celui des États-Unis.
Mettons en exergue les 5 risques majeurs :
– La longévité : C’est le risque le plus important de la planification financière car nous avons, de plus en plus, l’opportunité de vivre une très longue vie. Ce risque a également la particularité d’être un coefficient multiplicateur de tous les autres risques.
– L’inflation : Au rythme de l’augmentation actuelle du coût de la vie, il faut pouvoir prévoir de doubler ses revenus de retraite tous les 15 à 20 ans pour garder son style de vie.
– La taxation : Aux États-Unis, l’imposition au niveau fédéral est historiquement bas. Le taux marginal supérieur cette année est de 37 %, à comparer à 70 % dans les années 70, voire même 93 % après la crise de 1929. Or, si nous revenons à une moyenne historique, l’impact peut s’avérer être négatif sur notre revenu net après imposition.
– La volatilité: Tout d’abord, c’est l’impact de l’ordre des rendements. En effet, une crise financière et/ou immobilière dans les 5 années avant la retraite ou même les 5 années après la retraite, aura un impact dévastateur sur la capacité à générer le revenu espéré à vie. Ensuite, c’est le niveau de risque choisi en fonction du rendement attendu. En effet, la forte volatilité actuelle des marchés financiers impose aux personnes qui préparent leur retraite de faire appel à une certaine prudence, qui limite donc les revenus.
– Les frais de santé : Les coûts liés à la santé aux États-Unis sont élevés. Que ce soit pour se couvrir, se soigner ou encore séjourner dans un établissement médicalisé. De plus, l’inflation des coûts de santé suit une courbe exponentielle.
Le fait d’être, aujourd’hui, aux États-Unis nous offre des opportunités que nous n’aurions pu avoir en France, et cela sans avoir besoin de visibilité. « Il s’agit de repenser sa stratégie patrimoniale en fonction des options à notre disposition aux États-Unis », conseille Cédric S. Sage.
Mettons notamment en exergue deux stratégies patrimoniales à connaître absolument :
Dans notre vie quotidienne, nous avons deux types de dépenses : les dépenses pour nos besoins primaires et les dépenses dites discrétionnaires. L’objectif ici est d’allouer une partie de notre capital afin d’assurer et de garantir le maintien de nos besoins vitaux pour le reste de notre vie.
Les instruments typiques sont : la sécurité sociale française et les complémentaires de retraite, la Social Security, si accessible les pensions d’entreprise, et bien évidemment aux États-Unis, les « annuities ».
Une fois ces frais pris en charge, nous serons plus libres de pouvoir profiter davantage de notre capital restant pour les centres d’intérêt qui nous passionnent !
À la retraite, nous allons très probablement passer par 3 phases de vie :
– Les Go-Go years : Ce sont les premières années à la retraite et, de fait, l’énergie, l’envie et la santé nous poussent à en profiter, et à dépenser.
– Les Slow-Go years : C’est la phase où nous commençons à perdre en mobilité et motricité, et ainsi probablement dépensons un peu moins.
– Les No-Go years : C’est la dernière phase de notre vie, où les pépins médicaux se multiplient et les frais de santé également.
Ainsi, en matière de planification financière, la retraite n’étant pas qu’une seule période linéaire, l’objectif est de pouvoir dédier des actifs durant chacune de ces phases.
À cet effet, un actif tel qu’une assurance-vie de type Whole Life* peut jouer un rôle déterminant dans une implémentation optimale de cette stratégie. Il peut à la fois servir dans la mise en place d’une réserve d’épargne, mais également aider à la succession car celui-ci se munit d’une assurance décès à vie.
Ainsi, avec l’aide de cabinets de gestion patrimoniale tels qu’USAFrance Financials, il est possible de mettre en place une stratégie globale et internationale afin de pouvoir, non seulement, améliorer son style de vie, mais également réduire drastiquement les risques, minimiser l’impact fiscal, tout en assurant sa succession.
Contactez USAFrance Financials dès aujourd’hui pour réaliser un bilan personnalisé et bénéficiez de conseils avisés afin d’optimiser votre stratégie de retraite.
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