[Article partenaire] C’est un fait, beaucoup de Français rêvent de s’implanter dans la Silicon Valley. Cependant, réaliser ce rêve demande beaucoup de préparation. En effet, la région de la Baie de San Francisco – plus grande communauté de francophones aux Etats-Unis après New York – est considérée comme l’une des plus convoitées, et la concurrence peut être rude.
Avec son climat très agréable toute l’année, d’excellentes écoles publiques ainsi que les sièges sociaux des plus grandes entreprises high-tech (Apple, Google, Facebook…), un investissement immobilier dans la région ne sera jamais un faux pas ! Même pendant la crise de 2008, les prix de l’immobilier sont restés plutôt stables dans la région.
Rencontre avec Catherine Hendricks, spécialiste immobilière dans la région depuis plus de quinze ans, qui accompagne les Français tentés par l’aventure.
Le dicton « location, location, location » – en français, « emplacement, emplacement, emplacement » – prend tout son sens dans la baie de San Francisco, et plus spécifiquement dans la Silicon Valley.
Les étudiants et jeunes cadres ont tendance à apprécier le dynamisme de la ville de San Francisco, tandis que les jeunes professionnels de la tech et les familles préfèrent en général les plus petites villes de la Baie.
« Les villes les plus sollicitées sont notamment Mountain View (Google), Los Altos, Redwood City, Palo Alto, Menlo Park (Facebook), Cupertino (Apple) ou encore Sunnyvale, raconte Catherine Hendricks. Ces villes, qui comptent entre autres les sièges sociaux de Google et de Facebook, sont connues pour leur climat tempéré et ensoleillé, leur très bonnes écoles publiques, et un mode de vie radicalement différent, comparé à la vie urbaine de San Francisco ».
Cependant, habiter ce paradis a un coût. « Pour une maison familiale, comptez au dessus d’1,5 million, précise Catherine Hendricks. Cela dit, la plupart des entreprises essaient d’adapter leurs salaires, bonus, actions et avantages à ces prix de logement ».
En effet, avec l’arrivée des meilleurs développeurs, ingénieurs ou encore chercheurs du monde entier – souvent décrit comme l’effet « brain drain » – ces petites villes tranquilles résidentielles croulent désormais sous les demandes d’achat immobilier.
« Comptez environ une petite dizaine d’offres par maison. Souvent, en moins d’une journée, les maisons trouvent preneur, et cela bien sûr est dû au manque d’inventaire disponible », explique Catherine Hendricks.
Alors, comment contrer cette tendance qui rend un achat extrêmement difficile ? « Le mieux, c’est de venir ici pendant quelques semaines, à l’occasion d’un voyage de repérage, de préparation. C’est également l’occasion de rencontrer un interlocuteur local expert, un agent immobilier qui saura vous expliquer le processus de A à Z : comment trouver un “lender” pour être “pre-approved”, comprendre comment rédiger l’offre…»
Il est intéressant de noter l’importance de trouver un bon agent immobilier aux États-Unis, pays où celui-ci a un rôle beaucoup plus large et important qu’en France, englobant notamment le rôle du notaire.
« Après avoir repéré la ville qui vous plaît, continue Catherine, et le quartier dans lequel vous voulez vivre, l’idéal est d’être au courant de ce qu’on appelle les biens off-market, c’est-à-dire ceux qui ne sont pas encore listés à la vente publiquement. Comprendre le marché grâce aux conseils d’un agent immobilier expérimenté et reconnu dans la région est un must ».
Le marché est donc bien particulier, et les conseils d’un expert sont très précieux, ainsi que son réseau. « Quand les agents du vendeur et de l’acheteur se connaissent, ça marche mieux ». D’ou l’intérêt d’avoir un agent connu dans la région.
En résumé, les clefs lors d’un achat dans la Silicon Valley sont la préparation et la solidité du dossier de prêt. Après avoir trouvé la perle la rare, il vous faudra ensuite « vérifier » le bien immobilier – ainsi que le propriétaire.
« Je ne le redirai jamais assez : les lois sont différentes ici ! Un vendeur et un acheteur ont chacun un agent, qui a une obligation fiduciaire envers eux », rappelle Catherine Hendricks.
« Concrètement, l’agent de l’acheteur doit constituer l’offre. Cela veut dire comprendre et expliquer les différentes inspections qui ont été effectuées (on inspecte notamment le toit, l’intérieur de la maison, les fondations, la piscine s’il y en a une, on vérifie systématiquement qu’il n’y a pas de termites… ). Et parce que l’on est en Californie, votre agent devra obligatoirement vérifier si les fondations de la maison sont adaptées aux tremblements de terre. Il ne faut jamais sous-estimer également les vérifications standards visant à attester la salubrité du bien », avise l’experte.
« L’agent aidera aussi, entre autres, à vérifier que le vendeur est vraiment le propriétaire, ou encore travaillera en liaison avec un banquier, afin de s’assurer de la validité des crédits de l’acheteur et de son pouvoir d’achat. Le rôle de l’expert immobilier ici est également d’expliquer le contenu du contrat et de préparer l’offre en fonction des informations données par l’agent du vendeur. Ici, nous effectuons le travail du notaire, entre autres choses ».
Installée aux États-Unis avec son mari américain qui a vécu en France et ses enfants, âgés de 4 et 6 ans au moment de l’emménagement, Catherine Hendricks sait à quel point il est important que toute la famille se sente à l’aise lors d’une expatriation.
« On est quand même à l’autre bout du monde, et cela peut être déroutant ». Dans un contexte où plus de 75% des couples d’expatriés comptent une personne sans activité professionnelle -ou qui ne peut pas exercer son activité- Catherine Hendricks met tout en place pour accompagner ses clients dans leur nouvelle vie. En plus de vous aider dans l’achat de votre bien immobilier, elle propose également des services de “relocation”. Elle vous aide notamment à trouver une école, ou encore un médecin : visitez son site pour découvrir l’intégralité des services de relocation proposés par Catherine.
« Savoir où faire ses courses, quelles sont les bonnes écoles, comment intégrer les cercles sociaux de votre quartier : pour moi tout ceci est aussi important que l’achat immobilier en lui-même » conclue-t-elle.
En arrivant dans la région, vous aurez peut-être besoin de louer un bien pendant quelques temps avant de trouver la maison que vous souhaitez acheter : Catherine sera là pour vous et vous aidera à trouver vos marques.
Pour plus d’informations ou pour un accompagnement lors de votre expatriation à San Francisco and Bay, n’hésitez pas à contacter Catherine Hendricks.
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