(Article partenaire) On ne le dira jamais assez, la « pierre » reste un placement refuge en temps de crise. Et en cette période chahutée, force est de constater qu’elle ne déçoit pas.
Si les rendements ne sont pas exceptionnels, tournant autour de 3,5 à 4 % bruts, ils font souvent beaucoup mieux que la plupart des produits d’épargne à moyen/long terme. Pour preuve, le rendement des contrats d’assurance vie en euros, n’a rapporté que 2,5 % en moyenne l’an dernier.
A côté, l’immobilier apparaît une bien meilleure option. D’autant que les prix ont plutôt bien résisté face aux placements boursiers. Pour quiconque cherche à investir pour diversifier son patrimoine ou préparer l’étape de son retour en France d’ici quelques années, c’est le moment de sauter le pas. D’autant que les conditions de crédit ont rarement été aussi favorables. Selon que l’on dispose d’un excellent ou d’un bon dossier, il est possible de décrocher un taux historiquement bas : entre 1,5 et 2 % sur 15 ans ou entre 1,7 et 2,3 % sur 20 ans. C’est donc le moment de profiter du ciel dégagé qu’offre le marché bancaire. D’autant que certains spécialistes pronostiquent une remontée des taux dans les prochains mois.
Une valorisation certaine pour le neuf
Aujourd’hui, les expatriés ne sont pas éligibles au régime de défiscalisation Pinel . Mais, pour peu que l’on sélectionne un bon emplacement, dans une ville dynamique, tant au plan démographique qu’économique, l’investissement sera patrimonial et aura toutes les chances de se valoriser et de procurer, en cas de revente, une plus-value appréciable.
Autre atout, la possibilité de choisir ses locataires et de fixer le loyer sans contrainte. Au plan du rendement, un tel placement a toutes les chances de tirer son épingle du jeu.
Ce ne sont pas les seuls atouts du neuf. Il faut y ajouter une construction de qualité, aux normes les plus récentes, des logements performants en matière d’économies d’énergie – ce qui ne manquera pas de séduire les futures locataires – et aucun travaux à prévoir avant une dizaine d’années. Sans oublier les garanties attachées au neuf (parfait achèvement, biennale, décennale) qui permettent, contrairement à l’achat dans l’ancien, de mener son projet sereinement.
Revenus locatifs : quelle fiscalité ?
Concernant la fiscalité des revenus fonciers, tout dépend de son statut. Ce n’est pas, en effet, parce que l’on vit à l’étranger que l’on bénéficie du statut de non-résident.
Le fisc français se base en effet sur le lieu d’exercice de l’activité professionnelle principale, d’où proviennent l’essentiel des revenus ou encore où réside le foyer… A partir du moment où l’on a décroché le statut de non-résident, l’imposition suit les règles du pays d’accueil ou de la convention fiscale de non double imposition signée avec la France ; cette convention prévalant sur toute autre règle.
Elle s’impose, par exemple, pour les revenus salariaux. En revanche, pour les revenus fonciers tirés d’une location, l’imposition s’effectue en France (taux marginal minimum démarrant à 20 %). Y compris pour les prélèvements sociaux (15,5 %). Si ce n’est que cette dernière obligation, contestée par la Cour de justice européenne, devrait en principe disparaître ; la France n’étant pas en droit de réclamer des prélèvements sociaux pour les revenus fonciers perçus par des expatriés affiliés à la sécurité sociale d’un autre Etat membre de l’Union européenne. Il devrait en être de même pour les prélèvements sociaux liés à la taxation des plus-values (imposables en France aussi). Il se pourrait donc que la fiscalité immobilière devienne beaucoup plus douce pour les expatriés.
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