Article partenaire. En entrant dans le bureau coquet et lumineux d’Evans, le visiteur sait immédiatement qu’il ne met pas les pieds dans une agence immobilière classique.
Ouverte depuis 2007 à Midtown West, Evans cible une clientèle d’acheteurs internationaux, désireuse de s’installer dans la Grosse Pomme ou d’investir dans la pierre new-yorkaise. Quatorze agents parlant français, italien, russe, mandarin et allemand notamment y travaillent. L’expertise de ces professionnels de l’immobilier dépasse la simple connaissance du marché de la vente et de la location à New York. Ils sont aussi bien spécialistes des réalités socio-économiques de chaque quartier que des politiques publiques new-yorkaise, d’architecture et de fiscalité. Ils sont surtout à l’écoute des clients.
“Nous sommes une petite agence qui prend soin des clients“, explique Chrystel Garipuy, une des agentes françaises d’Evans.
L’agence couvre l’ensemble de l’Etat de New York, avec une concentration particulière sur Brooklyn, Manhattan et le Queens. En plus de la recherche de logement, elle prend en charge les relations avec le bâtiment avant et après la transaction (que ce soit pour produire le crédit score ou remplacer le frigo), vous guide dans le mic-mac des démarches administratives et financières, organise des visites de quartiers et prodigue des conseils sur les services locaux (écoles, shopping, transports…). “Les agents sont des spécialistes du marché new-yorkais, mais aussi du pays d’où viennent nos clients“, insiste Karina Sagiev, qui dirige l’agence.
Evans emploie deux agents francophones. Pour sa part, Chrystel Garipuy est passée par une formation de droit en France avant de s’installer à New York et se reconvertir dans l’immobilier. “A Evans, nous sommes plus des conseillers que des brokers, indique-t-elle. Nous savons comment les quartiers fonctionnent et évoluent, comment trouver les financements… L’immobilier à New York est très vivant. Ce n’est pas un hasard si tout le monde en parle“.
Parmi ses missions: aider la clientèle française à comprendre que les pratiques immobilières sont différentes aux Etats-Unis, en particulier dans un marché aussi complexe que New York. Par exemple, certains bâtiments new-yorkais proposent une offre de services (concierge, gym…) qui souvent n’existent pas en France.
Par ailleurs, “l’encadrement légal est plus fort. Par exemple, quand on achète un appartement en France, on a un notaire, mais pas un avocat. Ici, on doit être représenté par un avocat. C’est lui qui va regarder la sante financière du bâtiment et qui va donner son feu vert pour la transaction“. D’ailleurs, ajoute-t-elle, Evans se charge de trouver un avocat pour ses clients. “Nous travaillons avec des francophones“.
Autre différence: “Les clients aux Etats-Unis travaillent avec un broker (buyer’s agent) qui va vous représenter. Il va chercher avec vous. C’est un partenariat avec le client. Il va vous aiguiller sur les professionnels qui peuvent vous aider. En France, la recherche est plus solitaire. Ici, ce système vous donne plus de chance de trouver quelque chose de bien“.
Enfin, elle les met en garde contre certains parallèles un peu hasardeux: “Certains clients comparent Montreuil à Brooklyn ou Soho au Marais. Alors que c’est complètement diffèrent“.
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