(Article partenaire) Il y a peu de choses dans la vie qui font aussi peur que de se lancer dans la recherche d’un local commercial à New York. Heureusement, les entrepreneurs français ne sont pas complètement à la rue.
Depuis deux ans, Stéphane J. Brenot, agent spécialisé dans l’immobilier commercial conseille et apporte son expertise à des firmes françaises et internationales qui souhaitent s’implanter dans la Grosse Pomme. « L’éthique professionnelle est vraiment primordiale pour moi. Travailler dans une agence immobilière où on comprend les besoins de nos clients, et où on se met totalement à leur place, c’est extrêmement important ».
Arrivé il y a 13 ans aux Etats-Unis, Stéphane Brenot est un entrepreneur chevronné. Spécialiste du commerce international, passé de responsable d’un centre de profit à consultant en stratégie, puis galeriste à SoHo, il rejoint l’agence Rice & Associates en 2015. Un savoir-faire et une expérience que le Français met entièrement au profit de ses clients au sein d’un marché de l’immobilier complexe et cruel. « On est arrivé sur une période de transition de l’immobilier commercial new-yorkais, poursuit l’agent immobilier. L’activité « retail » diminue, parce que les commerçants semblent vendre de plus en plus par internet et moins par l’intermédiaire d’une boutique ».
Si en France, le droit immobilier protège le locataire, à New York, c’est le contraire. Et ouvrir un commerce demande par-dessus tout un conseiller avisé avec une expertise solide, en plus d’un financement important. « Ce travail de représentation leur apporte une grande économie de temps et d’argent. D’autant plus que nos services sont gratuits pour le locataire, la commission étant toujours payée par le propriétaire et partagée entre l’agent du propriétaire et celui du locataire, ajoute-t-il. Il n’est pas rare que je récupère des clients qui ont eu une mauvaise expérience en essayant de négocier par eux-mêmes directement avec le propriétaire, comme ils l’auraient fait en France. Dans le meilleur des cas, ils ont perdu beaucoup de temps et donc d’argent, et dans le plus mauvais des cas ils ont perdu leur bail ou n’ont jamais pu le signer.»
A cela s’est ajoutée la très forte augmentation des loyers commerciaux de ces dernières années. Il y a donc un grand nombre de boutiques vides, à SoHo par exemple. Résultat, « les propriétaires commencent maintenant à réduire leurs prix ou à accepter de négocier leurs prix à la baisse, explique Stéphane Brenot, c’est de cette négociation parfois acharnée pour le compte de mes clients locataires que je tire la plus grande fierté. ».
Avec un service de qualité, un réseau de prestataires sérieux, Stéphane Brenot guide avec bienveillance ses clients durant l’ensemble de leur projet immobilier. Son dernier challenge: trouver un local, disposant d’un jardin privatif, à un loyer raisonnable sur Manhattan, pour l’école d’art floral Catherine Muller. « Il a été constant dans son excellence et nous a trouvé un lieu introuvable. Je n’ai jamais eu ce niveau de qualité de service », affirme Charles François, directeur général de l’entreprise française implantée aussi à Londres et Séoul.
« Pour tout ce qui a touché à la négociation du bail, (et elle a été farouche avec un propriétaire particulièrement intraitable) il a été un intermédiaire remarquable. Il a le sens du compromis. Il m’a aidé pendant les conférences téléphoniques, il était présent à toutes les réunions », poursuit l’entrepreneur français qui grâce à l’investissement de l’agent immobilier n’a pas eu besoin de se déplacer en personne à New York.
Dévoué et à l’écoute, Stéphane Brenot s’est montré indispensable tout au long du projet de l’entreprise. « Là où j’ai été vraiment surpris, c’est après la signature du bail. Stéphan a continué à nous conseiller, avec la même réactivité. C’était magique. Justement au moment où on se retrouvait un peu livrés à nous-même. Pour faire exécuter des travaux ou des procédures administratives, sans perdre de temps, il nous a toujours aidé et conseillé. Il continue son job jusqu’à l’ouverture de la boutique. Il a fait beaucoup de choses qu’il n’était pas obligé de faire », précise Charles François.
« Pour chaque client, je m’assure réellement que la boutique ou le bureau trouvé est à la bonne taille, au bon prix, les bonnes caractéristiques pour lui donner toutes les chances de mener à bien son activité, explique l’agent. Si le client revient me voir à la fin de son bail pour trouver un endroit plus grand pour s’installer, c’est une vraie réussite . Si il revient vers moi avant la fin du bail, je peux lui trouver un sous locataire et lui trouver le local suivant.»
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