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“Moi impat”, histoires de retour au pays, épisode 5

Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Après cinq ans à Moscou, le retour tant attendu par la famille de Christine Hubert a été un choc. “Je ne l’aurais jamais cru, mais j’ai pleuré à chaudes larmes en partant”, raconte la Française pour qui l’image de son pays d’origine a beaucoup changé après ce départ à l’étranger, “j’ai finalement trouvé des choses dans cette expatriation qui m’ont plues et au retour, on n’est pas vraiment attendu, pas aidé”.

Commencez l'été en musique avec la Chorale franco-américaine de New York

Si vous aussi vous pensez que la musique adoucit les moeurs, rendez-vous au concert d’été de la Chorale franco-américaine de New York, le lundi 25 juin à la Church of the Holy Trinity.
Lors de son concert “Musical Gems from Europe”, cette chorale de chanteurs amateurs (auquel appartient l’auteur de ces lignes) partagera avec le public des morceaux européens rarement joués aux Etats-Unis. Le programme comprend du Purcell, Gounod, Massenet et Verdi notamment.
La chorale, fondée en 2013 par la cantatrice Anne-Julia Audray, se produit régulièrement à New York et sur Long Island. Elle participe à des opéras et des événements officiels franco-américains.

Saint-Omer en mission promotion à Washington

On est là pour raconter une histoire un peu oubliée“, confie le maire de Saint-Omer, François Decoster, à la maison de l’ambassadeur de France à Washington ce jeudi 14 juin.
Après New York et Annapolis, l’élu de cette ville située près de Lille est arrivé dans la capitale fédérale pour faire connaître sa commune de 15.000 habitants. Il était accompagné d’Edouard de Lencquesaing, président de la fondation Saint-Omer, et de son épouse Sarah de Lencquesaing.
L’histoire “oubliée”, c’est celle de l’école jésuite de la ville du Nord. De nombreux anglo-saxons venaient au “collège des jésuites anglais” pour obtenir “une éducation catholique“, explique François Decoster.
Au cours du XVIIIe siècle, plusieurs familles américaines inscrivent leurs enfants dans cette école, comme la famille Carroll. En 1746, elle y envoie un certain John Carroll, 13 ans, qui deviendra le fondateur de l’université catholique de Georgetown. Ses deux frères Daniel et Charles y feront également un passage et marqueront à leur tour l’histoire des Etats-Unis en signant respectivement la Constitution des Etats-Unis et la Déclaration d’Indépendance.
Pour Edouard de Lencquesaing, “c’est une histoire riche” qui doit être contée pour “développer les relations entre Saint-Omer et les Etats-Unis“. Grâce à sa fondation, Saint-Omer voit ses relations avec les institutions américaines reprendre vie. Depuis trois ans, une vingtaine d’étudiants de Georgetown sont accueillis pendant six semaines pour un stage d’été. De son côté, la ville de Saint-Omer envoie une trentaine de lycéens dans le Maryland.
Lafayette et Rochambeau sont les histoires les plus connues, mais celle des Carroll est aussi importante“, poursuit-il.
Plus que de développer les relations avec la région de Washington D.C., le maire de Saint-Omer y voit un moyen “de donner de la fierté aux habitants“. “Récemment, avec les nombreux changements, il y a des questions autour de l’avenir de nos territoires et des villes moyennes comme Saint-Omer. Cela peut être un moteur pour l’avenir“.
La ville a d’ailleurs commencé à développer un petit tourisme autour de “ce lien de mémoire“, comme l’explique Edouard de Lencquesaing. Un itinéraire expliquant l’histoire de la chapelle des jésuites, actuellement en restauration, et des personnages historiques qui ont habité a été mis en place. Des expositions sont également organisées autour de l’histoire de ce lieu catholique. “Nous espérons pouvoir les faire voyager“, espère-t-il, “pourquoi pas à Georgetown ou dans le Maryland“.

Coupe du Monde 2018 : où voir les matches des Bleus à Los Angeles ?

Le coup d’envoi du Mondial sera donné le 14 juin à Moscou. Résultat ? Les rencontres seront diffusées entre 3 et 11 am de ce côté de l’Atlantique. Pour ne pas perdre une miette des matchs que joueront les Bleus lors de la Coupe du Monde, plusieurs bars de Los Angeles vous proposent de suivre l’événement en direct (dont quelques-uns aux aurores).
Pour les matinaux, 33 TAPS
Pour les habitués de Silver Lake, sport rime avec 33 TAPS. Vous pourrez voir une rediffusion de France-Australie le samedi 16 juin à 8 am; le France-Pérou le jeudi 21 juin à 8 am et France-Danemark le mardi 26 juin à 7 am. Comme il ne sera pas l’heure de l’apéro, 33 TAPS servira un brunch à base d’oeufs, pancakes, burritos et de boissons chaudes. 33 TAPS, 3725 Sunset Blvd, Los Angeles.
Une tradition à The Fox and Hounds
Chez The Fox and Hounds, le “pub” de Studio City, tous les matches de la Coupe du Monde sont diffusés comme il est de tradition depuis une date chère aux Français (1998). Vous pourrez donc soutenir en pyjama la France face à l’Australie, le 16 juin à 3am ; ainsi que les matches suivants. Mais pour pouvoir entrer dans les lieux, pensez à vous munir d’un ticket (5 $ pour les matches très matinaux, en ligne cette semaine). The Fox and Hounds, 11100 Ventura Blvd, Studio City
Pas de fermeture pour Lucky Baldwins
Les plus intrépides pourront faire le choix de ne pas se coucher pour suivre les matches de l’équipe de France. L’authentique pub britannique Lucky Baldwins à Pasadena le répète à ses fidèles : tous les matches seront diffusés. “On ne fermera pas de la nuit pour ceux qui débutent à 3 am”, assure un employé. Seul bémol (très américain) : l’établissement ne servira pas de bières et de nourriture entre 2 et 7 am, mais du café en illimité (pour 5 dollars). Les matches suivants, les habitués pourront à nouveau trinquer à chaque but de Griezmann. Lucky Baldwins, 17 S Raymond Ave, Pasadena.
Suivre tous les matchs au Cock’n Bull
Le “soccer” est une religion au pub Cock’n Bull à Santa Monica. Alors, il était impensable de passer outre les matchs de la Coupe du Monde; ils y seront tous diffusés dès le jeudi 14 juin, dont le très matinal France-Australie, le samedi 16 juin. Si vous voulez passer un moment unique, n’hésitez pas à y être en avance pour être bien installé.
Cock’n bull, 2947 Lincoln Blvd, Santa Monica.
Certains matches dans les autres bars
Plus sélectif niveau horaire, vous pourrez vous rendre à Ye Olde King’s Head (116 Santa Monica Blvd, Santa Monica) pour suivre le match France-Pérou le 21 juin à 8 am ; ainsi qu’au très irlandais Joxer Daly’s (11168 Washington Blvd, Culver City) pour suivre les rencontres contre le Pérou et le Danemark. Ces deux matchs seront également projetés au Atmosphere Mar Vista (12034 Venice Blvd, Los Angeles), un restaurant français où vous vous sentirez comme au pays.
Vous pourrez aussi encourager les Bleus au Barney’s Beanery à Westwood (1037 Broxton Avenue, West Hollywood) ; mais pas en première phase de la compétition. Ce bar n’ouvrira qu’à 11 am en semaine, et 9 am les week-ends. Même chose pour La Poubelle Bistrot (5907 Franklin Ave, Los Angeles) qui ouvrira exceptionnellement à 9 am pour les “matches qui comptent”. Il faudra donc croiser les doigts pour que l’équipe de France aille plus loin dans la compétition pour profiter de l’ambiance survoltée des lieux.

Youri Djorkaeff: la nouvelle vie d'un ancien New-Yorkais

Et 1, et 2 et 3, zéro… Qui ne se souvient pas de ce dimanche 12 juillet 1998 ? La France devenait championne du monde de foot. Ce soir-là, sur le terrain, Youri Djorkaeff exhulte.
Avec ses ses co-équipiers, il aura marqué bien plus qu’une génération et sera entré dans la légende, aux côtés de Zinédine Zidane, Bixente Lizarazu, Thierry Henry ou encore Emmanuel Petit. Après plus de 15 ans à New York, le champion du monde a décidé de poser ses valises à Londres, où il s’occupe de sa fondation, qui vient en aide aux jeunes.
Ce n’est pas pour sa météo qu’il a choisi la capitale anglaise, mais parce qu’il est très attaché au pays. “J’ai un lien fort avec le Royaume-Uni, j’ai vécu il y a très longtemps à Manchester”, rappelle Youri Djorkaeff. L’ancien international a joué deux saisons pour le club de Bolton Wanderers, entre 2002 et 2004. “J’ai toujours eu envie de vivre à Londres. Après New York, je voulais revenir en Europe et cette ville est un bon compromis entre les deux continents”.

Une victoire indélébile

Ce qu’il trouve encore plus “agréable” ici, c’est qu’il a retrouvé quelques anciens partenaires de pelouse, comme Thierry Henry, aujourd’hui consultant pour Sky Sports. Avec lui, et le reste de l’équipe de France, ils avaient fait vibrer toute une nation pendant la coupe du monde 1998. Quel est d’ailleurs son meilleur souvenir de cette aventure sportive hors du commun ? Ses camarades de jeu ? La victoire ? La liesse populaire sur les Champs-Elysées ? Le fameux “Black-Blanc-Beur” ? “C’est un mélange de tout cela. Mais surtout tout l’amour que l’on a reçu et que l’on reçoit encore aujourd’hui de la part du public. J’ai été tellement fier de jouer pour mon pays”, confie l’ancien milieu de terrain.
Lorsqu’il reparle de ce dimanche 12 juillet 1998, “il y a tellement de choses qui (me) viennent en tête”, confesse Youri Djorkaeff. Quand on lui fait remarquer qu’il a inscrit son nom dans la légende, sa modestie prend le pas. “Le mot légende est un peu fort. Parfois, je l’accepte car c’est vrai qu’on a marqué plus qu’une génération. On a posé une empreinte sur le pays, sur les gens, qui ne veulent d’ailleurs pas que ces émotions s’arrêtent. Beaucoup nous en parlent encore quand ils nous croisent dans la rue”, avance l’ancien footballeur, avant d’ajouter, “ce qui me surprend encore plus, ce sont les enfants et adolescents qui n’ont pas vécu ce moment mais qui nous remercient. C’est génial”.

Tous les espoirs sont permis, 20 ans après

Ce 12ème homme qu’a été le public, que ce soit dans les gradins ou derrière sa télévision, Youri Djorkaeff ne l’oublie donc pas. “On a tous transpiré ensemble”, résume-t-il. Pense-t-il que cela sera aussi le cas 20 ans après avec une toute nouvelle équipe de France ? “Elle est assez forte pour aller au moins jusqu’en demi-finale. Ensuite, il faudra aussi de la chance, du courage, du talent et de la force pour aller jusqu’au bout”.
Le champion du monde explique qu’il n’existe pas de recette miracle pour remporter le Graal. “Il faut de la maturité, de l’expérience, des individualités, de la technicité, mais la clé de tout est le collectif. Si le groupe sait voyager et vivre ensemble, accepter la concurrence, se challenger, se battre, il pourra alors faire un beau parcours. Ça ne veut pas dire que tout est gagné d’avance, mais les chances sont plus grandes”. Mais Youri Djorkaeff ne sous-estime pas la pression de ce genre de compétitions. “C’est un challenge difficile. On a gagné en 1998, mais en 2002, on n’a pas passé le premier tour, puis en 2006 on a perdu la finale. Une équipe doit être prête à relever tous ces défis qui arriveront forcément les uns après les autres”.
L’ancien footballeur soutiendra cette nouvelle équipe, et suivra même de très près les matches, puisqu’il a été dépêché comme consultant par TF1 pour apporter son analyse sur toutes les rencontres de ce grand rendez-vous sportif.

Des camps de foot pour aider les jeunes réfugiés

Un autre projet l’attendra à l’issue de cette coupe du monde, toujours en lien avec le foot. “Je viens de signer un partenariat avec l’Unicef. A partir du lundi 18 juin, on va commencer un programme de huit semaines dans les camps de réfugiés en Grèce”, lance Youri Djorkaeff. C’est via sa fondation, créée en 2011 à New York, que l’ancien international propose ces programmes, pour faire la promotion des valeurs fortes du sport auprès des jeunes.
La situation des réfugiés l’a beaucoup marqué. “Il y a deux ans, alors que j’étais en transit, je suis tombé par hasard sur un reportage sur Calais à la télévision française. Voir ces jeunes livrés à eux-mêmes, qui ont fui leur pays, je me suis dit que ce n’était pas possible qu’il existe ce genre de situation en France et qu’on soit inapte à y répondre. Le lendemain, quand je suis rentré à New York, je suis allé frapper à la porte de l’Unicef, je leur ai dit que je voulais organiser des camps pour eux afin que ces jeunes aient un moment de joie à eux”.
Il aura donc fallu deux ans de travail pour monter ces camps de foot, qui, pour Youri Djorkaeff, représentent une lueur d’espoir. “Je veux dire à ces jeunes qu’on pense ainsi à eux. C’est une main tendue. On ne doit pas les abandonner”. Une équipe de sa fondation se rendra donc en Grèce dès lundi 18 juin et l’ancien professionnel la rejoindra dès la fin de la coupe du monde.

Demi-finale du Startup Tour à San Francisco

Quelle start-up de San Francisco se qualifiera pour la finale du Startup Tour ? La grande compétition de start-ups, organisée par le réseau FrenchFounders et la banque BNP Paribas, organise sa demi-finale le jeudi 21 juin à la Holberton School.
Six jeunes pousses s’affronteront: Allure Systems – Gabrielle Chou, OTO Systems Inc. – Teo Borschberg, CARFIT – Nicolas Olivier, Cintoo – Dominique Pouliquen, Helios Exchange – Pierre Trevet et InkSpace Imaging – Balthazar Lechêne.
Lancé en 2017, le Startup Tour est destiné aux start-ups françaises partant à la conquête de l’Amérique, quel que soit le côté de l’Atlantique où elles sont installées. Les meilleures start-ups seront sélectionnées lors de compétitions locales organisées à New York, Miami, Los Angeles, San Francisco, Montréal et Paris. Une grande finale aura lieu en septembre à New York.

À New York, Personal Attention s'occupe de vous

(Article partenaire) Vous êtes un touriste qui cherche à vivre New York autrement ? Vous habitez dans la Grosse Pomme et vous devez organiser un événement personnel ou professionnel ?
Après avoir travaillé à New York au service de personnalités du monde des affaires et de la haute société, Corinne Jox et Laéthycia Simms ont décidé de mettre leurs expériences et leurs ressources au service des francophones qui vivent ou veulent vivre à New York. Elles ont lancé Personal Attention, un service de conciergerie qui propose des services sur mesure pour expatriés, touristes, résidents ou voyageurs d’affaires.
Pour les touristes
Installées à New York depuis près de dix ans, les deux fondatrices parisiennes connaissent pratiquement tous les secrets de la ville. Pour les touristes, Personal Attention offre des services de guide, d’organisation d’activités et de solutions de transports. Assister à un spectacle sur Broadway ou à un match de baseball au Yankee Stadium, survoler Manhattan en hélicoptère, affréter un yacht ou encore participer au dernier cours de fitness à la mode avant qu’il n’arrive en France: les Françaises s’engagent à “faire vivre la Grosse Pomme au-delà des espérances d’une simple expérience touristique“, explique Laéthycia Simms.
Pour les expatriés, étudiants ou résidents
Là encore, Personal Attention propose une longue liste de services destinés à assurer le bon déroulement du séjour, qu’il soit de courte ou de longue durée.
Vous souhaitez vous installer avec votre famille ? Le duo de Françaises peut vous assister pour la visite du logement, l’installation, l’emménagement, l’entretien du domicile mais également l’aide à l’inscription scolaire des enfants et le recrutement d’une nounou. Personal Attention accompagne également les jeunes qui souhaitent faire un stage à New York.
Organiser un événement en plein New York
Et la vie étant une grande fête aussi, Personal Attention va jusqu’à organiser une série d’événements, comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou de garçon, les Bat Mitzvah ou  Bar Mitzvah, les communions, les baptêmes, les demandes en mariage, les lunes de miel ou encore les baby-showers… “Cela permet de se concentrer sur l’essentiel, dit Laéthycia Simms, le bonheur de savourer chacun de ces moments.
Le site de Personal Attention

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

"Villa Amalia" au Ciné-Club de l'Alliance Française d'Austin

Chaque troisième dimanche du mois, le Ciné-Club de l’Alliance Française d’Austin se retrouve autour d’une bonne toile. Ce dimanche 17 juin, vous pourrez voir ou revoir « Villa Amalia » de Benoit Jacquot à Austin Studios.
Isabelle Huppert joue le rôle d’une pianiste qui surprend son compagnon avec une autre. Le soir-même, elle retrouve un ami de longue date. Ses aventures l’amènent à partir à la rencontre de ses origines et son destin. Elle découvre une île, où se situe Villa Amalia.
Villa Amalia est tiré du roman éponyme de Pascal Quignard. Le film a été tourné sur l’île d’Ischia dans le nord de Naples. Le film sera diffusé en français et sous-titré en anglais.

Gad Elmaleh à Los Angeles en novembre 2018

Gad Elmaleh poursuit son bonhomme de chemin aux Etats-Unis. La star du rire, qui a décidé de s’installer à New York pour tenter une carrière américaine, vient d’annoncer une tournée internationale qui l’emmènera dans plusieurs villes américaines. Il sera au Wilshire Ebell Theatre de Los Angeles le 13 novembre. Les tickets seront en vente à partir du 15 juin.
Sa tournée est baptisée “Dream Tour”, allusion au fait qu’il estime que son “rêve est devenu réalité“, comme il l’a dit sur son instagram en annonçant la tournée. Celle-ci l’emmènera dans onze pays différents. 2018 promet donc d’être une année chargée pour l’humoriste, qui prépare pour la plateforme Netflix une série inspirée de son expérience de célébrité française qui fait face à l’anonymat aux Etats-Unis.

Gad Elmaleh fait rire Washington en octobre 2018

Gad Elmaleh poursuit son bonhomme de chemin aux Etats-Unis. La star du rire, qui a décidé de s’installer à New York pour tenter une carrière américaine, vient d’annoncer une tournée internationale qui l’emmènera dans plusieurs villes américaines. Il sera au Lincoln Theater de Washington le 10 octobre. Les tickets seront en vente à partir du 15 juin.
Sa tournée est baptisée “Dream Tour”, allusion au fait qu’il estime que son “rêve est devenu réalité“, comme il l’a dit sur son instagram en annonçant la tournée. Celle-ci l’emmènera dans onze pays différents. 2018 promet donc d’être une année chargée pour l’humoriste, qui prépare pour la plateforme Netflix une série inspirée de son expérience de célébrité française qui fait face à l’anonymat aux Etats-Unis.

"Stories to inspire": une soirée French Morning et Sézane à New York

French Morning et Sézane vous invitent à une soirée de discussion et networking dans la boutique. Ariane Daguin, Anne Busquet et Myriam Chalek partageront leurs expériences d’entrepreneuses et de femmes d’affaires à New York au cours d’une discussion modérée par Jenny Hughes, rédactrice en chef de Frenchly.
Ariane Daguin est la “reine du foie gras” aux Etats-Unis mais surtout la fondatrice de D’Artagnan, leader dans le secteur des viandes et charcuteries organiques.
Anne Busquet, fondatrice de AMB Advisors, a eu une riche carrière chez American Express et IAC, où elle a dirigé la branche Local and Media Services (comprenant Citysearch, Evite, Entertainment Publications, ServiceMagic et TripAdvisor). Elle est aussi investisseuse et mentor de nombreuses femmes entrepreneuses.
Myriam Chalek est créatrice de mode et entrepreneuse mais aussi militante en faveur de l’inclusion et de la diversité. Elle a notamment créé des défilés de mode “alternatifs”, mettant en valeur des personnes handicapées.
L’entrée est gratuite mais les places sont limitées. Discussion suivie par un cocktail. Inscription obligatoire:
 

Gad Elmaleh à Miami en novembre pour son "Dream Tour"

Gad Elmaleh poursuit son bonhomme de chemin aux Etats-Unis. La star du rire, qui a décidé de s’installer à New York pour tenter une carrière américaine, vient d’annoncer une tournée internationale qui l’emmènera dans plusieurs villes américaines. Il sera à l’Adrienne Arsht Center à Miami le 15 novembre. Les tickets seront en vente à partir du 15 juin.
Sa tournée est baptisée “Dream Tour”, allusion au fait qu’il estime que son “rêve est devenu réalité“, comme il l’a dit sur son instagram en annonçant la tournée. Celle-ci l’emmènera dans onze pays différents. 2018 promet donc d’être une année chargée pour l’humoriste, qui prépare pour la plateforme Netflix une série inspirée de son expérience de célébrité française qui fait face à l’anonymat aux Etats-Unis.