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Le "nouveau MoMA" ouvre ses portes à New York

Le MoMA fait peau neuve… une fois de plus. Quinze ans après son dernier agrandissement d’envergure, le musée d’art moderne vient de terminer une nouvelle extension et un ré-aménagement de grande ampleur destinés à accueillir plus de visiteurs dans de meilleures conditions. Ce très-attendu “nouveau MoMA”, qui a coûté 450 millions de dollars, ouvre lundi 21 octobre. Il y aura plus d’oeuvres d’art venant de plus d’endroits, d’artistes et disciplines que jamais”, a souligné le directeur du MoMA Glenn Lowry lors d’une discussion avec quelques journalistes, jeudi.
Pour faire face à la fréquentation croissante (3 millions de visiteurs annuels ces dernières années, dont 51% de visiteurs internationaux), le MoMA a poussé les murs. Il a pris possession de plusieurs étages dans la tour voisine de Jean Nouvel et construit de nouvelles galeries et des espaces thématiques dédiés notamment à la création et aux performances. Au total, la surface consacrée aux galeries a été accrue d’un tiers. Pour mieux mettre en valeur ses impressionnantes collections, un tiers des galeries sera renouvelé tous les six mois. Même si les grands classiques, comme “La danse” de Matisse ou “Les Demoiselles d’Avignon” de Picasso, resteront aux murs.
En outre, les galeries seront désormais organisées par ordre chronologique (1970-présent, 19401970, 1880-1940) et par thématiques (“Paris dans les années 20”, “Innovateurs du XIXème siècle”, “Réponse à la guerre”, “L’architecture pour l’art moderne”, “Henri Matisse”…). Hier, on voyait 5 000 oeuvres quand on venait au musée, essentiellement d’artistes nord-américains et européens. Aujourd’hui, on en verra 25 000 issus d’Amérique latine, d’Inde, d’Afrique et du Proche-Orient”, poursuit Glenn Lowry.
Pour cette ré-ouverture, qui fait suite à quatre mois de travaux, les visiteurs découvriront plusieurs commissions, dont une installation de Yoko Ono (“Peace is Power” au 3ème étage) et une grande tapisserie de l’artiste polonaise Goshka Macuga rassemblant les images de 100 oeuvres issues des archives et des collections du MoMA ainsi que ses propres oeuvres. Les architectes de ce “nouveau MoMA” ont multiplié les passages entre les galeries de manière à fluidifier la circulation des visiteurs et se perdre plus facilement dans l’art.

JR est à l’honneur au Brooklyn Museum

(Article partenaire) L’artiste de rue contemporain français JR arrive au Brooklyn Museum avec une exposition dédiée, ouverte du 4 octobre 2019 au 3 mai 2020.
Ces deux dernières décennies, les projets ambitieux de l’artiste, connu notamment pour avoir successivement dissimulé puis mis en valeur de façon impressionnante la pyramide du Louvre à l’aide de ses collages, lui ont valu une attention internationale et ont redéfini les frontières du street art.
L’exposition “JR:Chronicles”, comprenant de nombreuses photographies, vidéos, dioramas et archives, est la première exposition entièrement dédiée à l’artiste en Amérique du Nord.
Les idées de communauté et d’engagement social sont souvent sous-jacentes dans les oeuvres de JR, avec notamment ses portraits géants collés parfois illégalement dans des espaces publics, ou encore sa fresque récente recréant un portrait collectif de la ville de New York à travers plus de 1.000 portraits individuels de New-Yorkais. L’artiste met un point d’honneur à retranscrire les voix de “gens ordinaires”.
“JR:Chronicles” s’inscrit dans le cadre de Brooklyn Falls for France, une initiative des Services culturels de l’Ambassade de France pour mettre en valeur les rendez-vous culturels franco-américains.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Miami Accueil rend hommage à Geneviève Alix, son ex-présidente

Miami Accueil est en deuil après le décès de son ancienne présidente, Geneviève Alix, qui s’est éteinte dans la nuit du jeudi 17 au vendredi 18 octobre des suites d’une longue maladie. 
« Son sourire, sa jovialité, son dynamisme et son courage resteront marqués dans l’esprit de ceux qui l’ont rencontrée, souligne Miami Accueil dans un communiqué adressé à ses membres. Nous avons une pensée émue pour sa famille et ses proches », ajoute l’association, qui met en place un recueil accessible à tous ceux qui souhaitent rendre hommage à celle qui, pendant 14 ans en tant que présidente, a accueilli les nouveaux arrivants francophones et favorisé les échanges ainsi que les rencontres.
Une permanence sera assurée au Books & Books de Coral Gables (mardi 22 octobre de 10am à 12pm – 265 Aragon Ave, Coral Gables), à celui de Coconut Grove (mercredi 23 octobre de 11am à 1pm – 3409 Main Hwy, Coconut Grove) ainsi qu’à la même enseigne située au sein de l’Adrienne Arsht Center à Downtown Miami (jeudi 24 octobre de 10am à 12pm – 1300 Biscayne Blvd, Miami).
Ceux qui n’auraient pas la possibilité de se déplacer peuvent également faire parvenir leur message en hommage à l’ancienne présidente de Miami Accueil par e-mail à l’association qui l’insérera dans le livre d’or avant de le remettre à la famille de Geneviève Alix.
Connue et appréciée des expatriés francophones de Miami, l’ancienne présidente de l’association a par ailleurs été très investie dans la communauté française à Dallas ainsi qu’à Taïwan où elle a vécu de nombreuses années avec sa famille.

Les producteurs de vin français face aux tarifs douaniers américains

Bruno Le Maire était venu à Washington pour parler finances mondiales, à l’occasion des réunions du FMI et de la Banque Mondiale. Il y aura finalement beaucoup évoqué le sort des vignerons français… “Il y a un désaccord dans l’aéronautique et on frappe les vignerons! C’est inefficace et profondément injuste”, a insisté le ministre français de l’économie devant des journalistes français vendredi matin, avant de demander aux autorités américaines de revenir sur ces sanctions.

Un plaidoyer vain pour l’heure: le même jour, les sanctions décidées par la Maison Blanche contre plusieurs industries européennes entraient en vigueur. L’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) a autorisé au début du mois les Etats-Unis à imposer des taxes à hauteur de 7,5 milliards de dollars, en représailles contre les aides publiques européennes accordées par les pays européens à Airbus. Devant la levée de boucliers des compagnies aériennes américaines, qui soutenaient Airbus, et craignaient de voir les prix des avions augmenter, l’administration américaine a limité à 10% les droits de douane sur les avions, choisissant plutôt de taper fort avec une taxe de 25% sur des produits traditionnels de chaque pays européen concerné: le vin français, l’huile d’olive espagnole, le parmesan italien, le whisky britannique, les outils allemands, etc… La liste officielle des biens visés s’étire sur quelque 20 pages.

Bruno Le Maire veut pourtant croire encore à un règlement à l’amiable. “Si nous ne parvenons pas à une solution négociée, nous allons entrer dans une logique de riposte”. L’Union européenne a en effet de son côté porté plainte devant l’OMC contre les subventions américaines à Boeing et s’attend à recevoir la même autorisation de riposte dans quelques mois. “Mais ce n’est l’intérêt de personne d’ajouter une nouvelle guerre commerciale à celle que les Etats-Unis mènent déjà contre la Chine, et qui nuit à la croissance mondiale”, a ajouté le ministre. Les services de Bercy ont calculé que les nouveaux droits de douane pourraient coûter jusqu’à 300 millions d’euros à la filière hexagonale en 2020, sur un chiffre d’affaires d’environ un milliard d’euros de vins français vendus chaque année aux Etats-Unis.

Chez les producteurs et importateurs français, on est pourtant encore loin de la panique. Ce calme est fruit de l’expérience pour certains: “j’ai connu ça en 1991, quand les Américains ont subitement augmenté les taxes de 100%. Nous n’avons rien importé pendant deux mois, mais ça s’est très vite réglé”, se souvient Patrick Baugier de Chevestre, propriétaire de Metrowine, un des principaux distributeurs de vins de Bordeaux aux Etats-Unis. Comme beaucoup de ses confrères, il espère que la hache de guerre soit rapidement enterrée, notamment face aux menaces européennes de mesures de rétorsions.

De l’autre côté de l’Atlantique, en Bourgogne, Louis Moreau, exploitant, voit les prochains mois avec inquiétude et s’attend à perdre 20% de son business avec les Etats-Unis, où part d’ordinaire 8% de sa production. “Ca n’a aucun sens, dit-il. On prend en otage les producteurs pour un désaccord auquel on ne peut rien”. D’autres prédisent une chute plus brutale encore, comme Antoine Leccia, président de la Fédération des exportateurs de vins et spiritueux de France (FEVS) qui dit “craindre une baisse des ventes de l’ordre de 50%”.

Mais les dégâts économiques risquent de se faire ressentir également aux Etats-Unis. Plusieurs organisations professionnelles américaines se sont ainsi jointes vendredi à leurs homologues européennes pour condamner de concert les taxes américaines et appelent à “mettre fin immédiatement à toutes les taxes” (depuis l’an dernier, les whiskies américaines sont taxés à 25 % en Europe, en rétorsion contre les taxes sur l’acier décidées alors par Donald Trump). “Les secteurs du vin européen et américain étant interconnectés, ajoute le communiqué des organisations, ces taxes américaines pourraient se traduire par la perte de 8 000 emplois aux Etats-Unis, chez les importateurs, distributeurs…”

Malgré toutes ces inquiétudes, la plupart des acteurs français du secteur n’ont pas l’intention de réduire la voilure aux Etats-Unis. Ce n’est en tout cas pas l’intention de Gérard Bertrand, viticulteur bien connu du Languedoc. Les vents contraires ne l’ont pas dissuadé de célébrer cette semaine sur un rooftop new-yorkais le lancement sur le marché américain de la dernière-née de ses marques de vins bios, Naturae. Pour lui, l’important est “le goût naissant du public américain, et notamment des sommeliers et restaurateurs, pour les vins naturels et les vins bios. C’est le bon moment pour se lancer sur ce secteur maintenant”. Le marché américain est le premier marché à l’export de Gérard Bertrand et plutôt que de chambouler ses plans, il préfère “voir ce qui va se passer dans les prochains mois (…). Nous allons probablement soutenir nos distributeurs en baissant nos prix pour leur permettre de passer ce moment difficile, en espérant qu’il dure le moins longtemps possible”.

Caravan Palace passe à Oakland le 21 octobre

Les rois français de l’électro-swing sont de retour avec un quatrième album, “Chronologic”, et sont actuellement en tournée sur le continent américain : ils seront de passage à Oakland le 21 octobre.
“Nous sommes très heureux de revenir aux Etats-Unis et au Canada, même si ce ne sont pas des vacances”, plaisante Charles Delaporte, le bassiste du groupe.
Le dernier album de Caravan Palace est un ovni musical qui fait la part belle à des genres musicaux variés, avec des influences soul, hip-hop, pop ou encore rythm and blues. “On essaie de sortir un peu de l’électro-swing, qui peut être très répétitive. On ressent le besoin d’explorer autre chose avec des musiques plus pop, tout en gardant notre cohérence avec un mix de sons vintage et modernes”, explique Charles Delaporte.
C’est au pays de l’Oncle Sam que Caravan Palace vend le plus de disques, devant l’Angleterre et la France. Un succès que le bassiste du groupe a du mal à expliquer. “On s’attaque au swing, qui est une musique née aux Etats-Unis dans les années 1930, peut-être que ça parle aux Américains. Et puis les artistes électro français semblent toujours avoir la cote ici”. Jouer aux Etats-Unis a longtemps été un rêve pour les membres de Caravan Palace, dont les influences musicales sont principalement anglo-saxonnes et américaines.
Réservez vos billets pour Oakland ici

Au Texas, Trump loue Bernard Arnault, taquine Macron

Donald Trump a inauguré le jeudi 17 octobre l’ouverture d’un atelier Louis Vuitton à Alvarado au Texas, en présence du PDG de la multinationale française Bernard Arnault.
“Je voudrais remercier Bernard Arnault qui au-delà d’être un brillant entrepreneur, est un artiste et un visionnaire”, a déclaré le président américain lors de l’inauguration. “C’est une marque que je connais bien, car elle m’a coûté beaucoup d’argent dans ma vie”, a-t-il ajouté sur le ton de l’humour.
Le nouvel atelier d’Alvarado représente un investissement de 50 millions de dollars pour Louis Vuitton et doit accueillir 1 000 employés d’ici cinq ans. “Nous participons à la renaissance de l’industrie manufacturière américaine”, estime le président américain qui a insisté sur les résultats brillants de son administration. “Nous faisons un job incroyable, nous battons des records en terme d’emploi et je tenais à féliciter ma fille Ivanka pour avoir aidé à créer pas moins de 14 millions d’emploi dans le pays”.
Donald Trump a ajouté que cette nouvelle unité de production allait employer “500 des employés les plus qualifiés au monde“, et que “personne n’est à la hauteur de la précision et de la perfection des artisans américains”. Il a également assuré que les employés bénéficieraient tous “de bons salaires, d’une bonne assurance santé et d’un bon plan retraite (appelé 401K aux Etats-Unis). D’ailleurs depuis mon élection, le 401K explose et personne ne veut le voir baisser“, faisant référence aux bons chiffres de la bourse sur lesquels le 401K est indexé. “Quand les gens vont devoir voter et mettre le bulletin dans l’urne, j’ai le sentiment que ça va très bien marcher pour nous”, en a-t-il conclu.
En fin de discours, Donald Trump a tenu a évoqué le nom de ce nouvel atelier, “Rochambaud Ranch” -qui fait référence au nom du commandant qui dirigeait les troupes françaises pendant la guerre d’indépendance américaine- pour envoyer une pique à Emmanuel Macron. “On a des petites disputes de temps en temps. Mais passez-lui le bonjour (en s’adressant à Bernard Arnault, ndr). On s’entend très bien quand même, j’aime beaucoup votre président”.
Interrogé le même jour par une journaliste française sur les raisons du faible taux de chômage aux Etats-Unis comparé à la France, Donald Trump a enfoncé le clou en répondant, “peut-être que nous avons un meilleur président que vous”.

Le Coq Rico: Antoine Westermann poursuivi par son ancien associé

Associés hier au sein du Coq Rico (Manhattan), Antoine Westermann et l’entrepreneur Francis Staub ne s’entendent plus. Selon le New York Post, ce dernier accuse le chef étoilé d’avoir eu la main trop lourde avec son argent.
Selon le tabloïd, Antoine Westermann aurait facturé 19 000 dollars à l’homme d’affaires alsacien à la tête d’un empire d’équipements de cuisine, pour des voyages dans le reste de l’Etat de New York et à Grignan en France, où il dispose d’une maison de vacances. D’autres dépenses sont citées dans la plainte: 16 000 dollars pour travailler sur l’un de ses restaurants à Paris, 200 000 dollars en marketing, 350 000 dollars pour des travaux sur le bois au Coq Rico et 40 000 dollars de dépenses variées. Le budget du restaurant d’East 20th Street est ainsi passé de 2,4 millions de dollars à 6,9 millions, selon le New York Post.
Contacté, Antoine Westermann déclare qu’il aurait “une multitude de choses à dire” sur les accusations contenues dans l’article du journal, “mais je réserve mon commentaire à la justice“. “Je préférerais crier sur les toits tout ce que j’ai à dire, mais il y a des gens compétents qui s’en chargeront.
Remercié l’an dernier, le chef Westermann avait attaqué son ex-associé en justice au motif qu’il continuait à utiliser son nom pour promouvoir leur restaurant spécialisé dans la volaille alors qu’Antoine Westermann n’était plus dans l’affaire.

Trois films français à l'affiche du festival Animation is Film à Los Angeles

Le savoir-faire français en animation va, une fois n’est pas coutume, être sur le devant de la scène. La troisième édition du festival Animation Is Film présentera des longs-métrages d’animation en provenance d’Asie, d’Europe, d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord, récompensés par un jury et par le public, du vendredi 18 au dimanche 20 octobre au TCL Chinese Theatre à Hollywood.
Cette année, trois films tricolores ont été sélectionnés. “I Lost my Body” (“J’ai perdu mon corps”), de Jérémy Clapin (qui sera présent lors de la projection), sera ainsi le film de clôture du festival, le dimanche 20 octobre à 7:30 pm. Présenté en première mondiale au Festival de Cannes 2019, le film suit une main tranchée qui cherche à retrouver son corps dans Paris. Au cours de sa cavale semée d’embûches, elle se remémore toute sa vie commune avec lui, jusqu’à sa rencontre avec Gabrielle.
Autre film présenté : “Marona’s Fantastic Tale” (“L’Extraordinaire Voyage de Marona”) d’Anca Damian, projeté le samedi 19 octobre à 1:30 pm, offre un drame dans un univers ultra coloré. Une chienne, victime d’un accident, va se remémorer les différents maîtres qu’elle a aimés tout au long de sa vie. A 7:30 pm le même jour, place à “The Swallows of Kabul” (“Les Hirondelles de Kaboul”) de Zabau Breitman et Elea Gobbe-Mellevec. Le film nous plonge dans un Kaboul occupé par les talibans, à l’été 1998. Le spectateur va suivre l’histoire d’amour de Mohsen et Zunaira qui, en dépit de la violence quotidienne, veulent croire en l’avenir.

Visas E-1 / E-2: "On n'est pas loin d'une décision"

Le sort des visas E-1 et E-2 sera fixé prochainement, à en croire Roland Lescure. Interpellé lors d’une réunion publique à New York, mardi 15 octobre, le député des Français d’Amérique du Nord a indiqué qu'”on n’est pas loin d’une décision” sur les modalités d’attribution et de renouvellement de ces deux visas, subitement raccourcis en août par les autorités américaines. “La décision devrait sortir courant octobre“, a précisé l’élu qui s’est rendu à Washington le lendemain pour rencontre l’Ambassadeur de France aux Etats-Unis, Philippe Etienne.
Les visas E, attribués notamment aux entrepreneurs et aux employés d’entreprises participant aux échanges commerciaux franco-américains, ont été ramenés de cinq ans à quinze mois par Washington dans le cadre d’une politique de révision des visas. Les élus français et l’Ambassade de France étaient alors montés au créneau pour faire pression sur les autorités américaines pour revoir leur décision. Fin septembre, le Département d’Etat a fait machine arrière tout en indiquant à French Morning qu’une nouvelle durée serait annoncée prochainement. Depuis, le régime initial de cinq ans reste en vigueur.
Roland Lescure a indiqué qu’il était “probable” que cette durée ne serait pas maintenue mais espère que les démarches de renouvellement seront simplifiées. Celles-ci “pourraient être faites de manière plus automatique, par échange électronique plutôt que par présentation de l’ensemble de la famille à l’ambassade américaine“. 
 

Report de la réforme de la fiscalité des Français de l'étranger

La réforme de la fiscalité des Français de l’étranger n’aura pas lieu en 2020 comme prévu. L’Assemblée nationale a adopté, mercredi 16 octobre, un moratoire d’un an sur cette refonte, qui avait suscité une vive inquiétude chez certains Français hors de France. « La réforme de la fiscalité des Français de l’étranger doit se faire, mais pas pour la rendre confiscatoire ou difficilement supportable par les contribuables concernés », a indiqué le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, dans l’hémicycle du Palais Bourbon.
Les députés avaient adopté l’an dernier une réforme qui devait permettre d’aligner, à terme, la fiscalité des Français non-résidents sur celle des résidents. Cette réforme passait par le remplacement d’une retenue à la source sur les revenus français par un taux minium d’imposition de 30% au-delà de 27.519 euros de revenus. Les contribuables pouvaient opter pour une imposition au « taux moyen », à condition de déclarer leurs revenus mondiaux. Cette réforme a provoqué de vives critiques chez les travailleurs transfrontaliers et les retraités français à l’étranger qui continuent de percevoir des revenus de source française.
Le report de la mesure au 1er janvier 2021 doit permettre d’établir, au premier semestre 2020, une étude d’impact “afin de s’assurer que les contribuables concernés ne soient pas pénalisés par l’évolution des règles et pour corriger les éventuels effets de bord pour l’exercice budgétaire 2021“, précisent les huit députés de La République en Marche pour les Français de l’étranger dans un communiqué.
Les élus, dont le député des Français d’Amérique du Nord Roland Lescure, promettent de continuer de travailler avec le gouvernement “dans les prochains mois pour une réforme exhaustive de la fiscalité des non-résidents qui permette de rétablir l’équité fiscale entre les contribuables, quel que soit leur lieu de résidence, d’améliorer la lisibilité des règles d’imposition et de tenir compte des situations particulières“.

Gagnez 2 billets pour le concert de Gims à New York

Gims (ex-Maître Gims) s’offre une tournée américaine cet automne. Celle-ci l’emmènera notamment à New York le 8 novembre. French Morning et les organisateurs font gagner une paire de tickets aux lecteurs qui veulent assister à son concert. Pour participer, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Le tirage au sort aura lieu le 30 octobre.
Artiste français originaire de Kinshasa ayant connu le succès dans les années 2000 avec le groupe de rap Sexion d’Assaut, Gims a su très vite rebondir en solo avec les albums  « Subliminal », « Mon cœur avait raison » et « Ceinture noire » pour confirmer son statut de cador de la scène urbaine française. À l’aise autant dans le rap que dans la chanson, l’interprète de “Bella” a su allier des mélodies pop désarmantes avec des influences musicales africaines et caribéennes pour créer son style musical unique.
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Gagnez 2 billets pour le concert de Gims à Los Angeles

Gims (ex-Maître Gims) s’offre une tournée américaine cet automne. Celle-ci l’emmènera notamment à Los Angeles le 10 novembre. French Morning et les organisateurs font gagner une paire de tickets aux lecteurs qui veulent assister à son concert. Pour participer, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Le tirage au sort aura lieu le 30 octobre.
Artiste français originaire de Kinshasa ayant connu le succès dans les années 2000 avec le groupe de rap Sexion d’Assaut, Gims a su très vite rebondir en solo avec les albums  « Subliminal », « Mon cœur avait raison » et « Ceinture noire » pour confirmer son statut de cador de la scène urbaine française. À l’aise autant dans le rap que dans la chanson, l’interprète de “Bella” a su allier des mélodies pop désarmantes avec des influences musicales africaines et caribéennes pour créer son style musical unique.
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