[Article partenaire] Debout à la brasserie d’un hôtel de Porter Square à Cambridge, à 5 min de Harvard, Géraldine Guillermin accueille les représentants de la communauté française de Boston. Elle se prépare à inaugurer OFALycée, et elle a le sourire. En effet, cette Française originaire d’un petit village de la Loire, parente éloignée de Bernard Pivot, est en train de réaliser son rêve : créer le premier établissement franco-américain en ligne, avec succès.
Et pour en arriver là, il lui a fallu faire preuve d’une détermination à toute épreuve et d’une intuition visionnaire. Avant de se lancer dans cette aventure, elle a fait appel à quatre anciens collègues enseignants (du temps où elle était directrice de Lycée) – qui, pour elle et le projet, ont abandonné leurs 15 ans de métier au Lycée International de Boston. « Sa garde rapprochée » suivant l’expression de certains, ceux avec qui « on parvenait à 100% de réussite au baccalauréat, jusqu’à 90% de mentions et 40% de mentions Très bien… ». Et elle ajoute : « …et qui sont capables de faire deux fois les « 35 heures » en une semaine ».
L’idée n’est pas née hier. Le temps de la réflexion et maturation était nécessaire à la création de cette Edtech innovante du Greater Boston. « Nous en parlons depuis 2014. En tant qu’acteurs de l’éducation française aux USA, les forces et les faiblesses du système actuel nous sautaient aux yeux. Un élève français dans un lycée français aux Etats-Unis, structure certes élitiste, c’est comme un rendez-vous manqué. » Rendez-vous manqué entre deux cultures hors du commun, entre deux magnifiques manières de penser l’éducation, entre deux mindsets. « Ce sont des élèves qui préparent le baccalauréat avant tout. L’ouverture sur l’autre culture existe, mais elle est incomplète. » renchérit l’entrepreneuse franco-américaine. Il fallait donc innover, et proposer un parcours éducatif qui n’existait pas encore : un parcours qui s’appuie sur deux systèmes simultanément. Car, en 2020, un système éducatif ne prend sa véritable valeur que s’il est renforcé par un autre! ».
Pour ce faire, au lieu de créer une énième école française, Madame Guillermin a pensé « out of the box ». « Nous avons pris le problème à l’envers ». Pourquoi ne pas se servir des écoles publiques américaines, où le curriculum est bien souvent de très bon niveau? Pourquoi ne pas potentialiser l’expérience de l’immersion d’un élève français dans le système américain grâce aux outils de demain, à la technologie? Pourquoi ne pas transformer en force ce qui était vu souvent par bien des parents comme une faiblesse. Pour Thomas Renault, directeur académique en mathématiques, « le niveau de technique algébrique est souvent bien plus élevé aux US qu’en France! Mais je pourrais aussi vous parler des Arts où nos amis d’Outre-atlantique nous donnent de belles leçons d’humanisme ». Et Géraldine Guillermin de renchérir : « À OFALycée, nous nous servons de la puissance de l’éducation américaine et nous apportons ce que les établissements publiques n’offrent pas : le français, la géographie, la philosophie, etc… En somme, nous offrons un véritable programme bi-culturel, bilingue, bi-civilisationnel. Nos élèves sont américains par l’école et français par la famille et OFALycée! ».
D’autre part, tient à souligner Valérie Burnick, directrice des finances : « avec ces deux diplômes, nous offrons à nos élèves des choix post-bac exceptionnels, la possibilité d’aller faire des études supérieures dans le monde entier. Du Japon à l’Australie en passant par l’Espagne, le Royaume-Uni, la France et les Amériques. Avec un bac ET un high school diploma, toutes les universités du monde vous ouvrent leurs portes. Et il y en a pour toutes les bourses! Du gratuit à toutes les gammes du payant ».
Mais, à OFALycée, on ne laisse pas les élèves et leurs parents face à cette boîte de Pandore. Dès leur entrée à OFALycée, les élèves sont accompagnés, conseillés, aiguillés dans ces décisions qui forgeront leur destin. « Ce n’est pas tout de pouvoir dire ‘je peux étudier dans le monde’, il faut savoir où l’on va. Et pour savoir où l’on va, il faut savoir ce qui existe. Et c’est là où nous intervenons. Nous avons même des élèves américains qui viennent chercher nos conseils d’orientation pour aller étudier en Europe » ajoute Olivier Saint-Vincent, l’un des fondateurs. « D’autre part, nous sommes la première école en ligne à proposer un suivi socio-émotionnel gratuit! Car pour nous la réussite d’un élève passe par son bien-être : savez-vous que l’intelligence émotionnelle est la soft skill la plus recherchée sur internet? ».
Cette EdTech bostonienne n’a pas laissé indifférent des pointures du Business ou de l’Éducation. A l’instar de Jocelyn Vigreux – business angel, fort d’une expérience de 15 ans comme CEO TomTom USA – Président du Conseil Consultatif ou de Fabrice Jaumont – auteur à succès de La Révolution Bilingue – board member également, les acteurs qui font le monde d’aujourd’hui ne s’y sont pas trompé : OFALycée, c’est aller plus loin dans l’excellence.
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