Il est des impatriations plus heureuses que d’autres. Emmanuelle Lartilleux en a fait les frais il y a 5 ans lorsqu’elle est revenue en traînant les pieds poser ses valises à Nantes.
Qui dit départ précipité dit retour non préparé avec son lot de mauvaises surprises. Et toujours les regrets de sa vie rêvée à San Francisco qui a freiné quelque peu l’enthousiasme de cette nouvelle installation.
Perdue dans ce pays qu’elle ne reconnaissait pas, il lui a fallu se créer de nouveaux repères, elle qui n’y avait jamais travaillé. Mais au bout du compte, c’est aussi un grand bonheur qui l’attendait. Emmanuelle nous le raconte dans ce numéro de « Moi Impat »