Un Centre culturel peut-il faire renaître un quartier? Oui assure le Wall Street Journal, qui raconte comment l’arrivée de l’Invisible Dog, créée par le Français Lucien Zayan, a transformé une partie du très demandé Boerum Hill.
Boutiques artisanales, bars branchés, écoles d’arts: autant de signes, assure le WSJ, de l’influence de l’Invisible Dog. Depuis qu’en 2009 son propriétaire, fraîchement arrivé de Marseille, a transformé cette ancienne usine de ceintures et gadgets (dont la fameuse “laisse pour chien invisible”), en centre d’art, ce morceau de Bergen Street a beaucoup changé.
Pour Lucien Zayan, la coup de chapeau des pages immobiliers du WSj n’est qu’un parmi d’autres. Le Village Voice a récemment déclaré l’Invisble Dog “New York Best Place to expand your mind”. Des reconnaissances qui tombent à pique: le centre, qui vit principalement des loyers de ses studios d’artistes et des revenus de ses expositions, vient de lancer son “fundraiser” annuel. La campagne, sur Kickstarter, s’achève le 7 novembre.