Qu’on se souvienne de lui avec son visage d’adolescent dans les 400 coups de Truffaut ou celui, plus dessiné mais tout aussi perdu, de ses rencontres suivantes, avec Godard notamment, Jean-Pierre Léaud reste cet acteur emblématique de la Nouvelle Vague et le symbole d’un certain cinéma français.
C’est tout cela que va essayer de mettre en avant le Metrograph ces prochains jours, en programmant six films de l’acteur français, aujourd’hui âgé de 79 ans : « Love on the run » (L’Amour en fuite) de François Truffaut, vendredi 5 janvier, billets ici ; « Stolen Kisses » (Baisers volés) de François Truffaut, samedi 6 janvier, billets ici; « Bed and Board » (Domicile conjugal) de François Truffaut, vendredi 12 janvier, billets ici; « I hire a contract killer » (J’ai engagé un tueur) d’Aki Kaurismaki, samedi 13 janvier, billets ici; « Made in USA » de Jean-Luc Godard, samedi 20 janvier, billets ici; et « Santa Claus has blue eyes » (Le Père Noël a les yeux bleus) de Jean Eustache, vendredi 26 janvier, billets ici.
La rétrospective s’intitule « Jester in the court : Jean-Pierre Léaud’s finest follies » (Un bouffon à la court : les plus belles folies de Jean-Pierre Léaud). Des folies comme ça, on en redemande.