Arsham propose de bouleverser notre perception de «l’architecture, du monde naturel et de la façon dont ils interagissent». Des murs qui fondent, l’impression d’un corps caché derrière un voile malgré la rigidité du support, des toiles représentant de possibles buildings, un lustre composé de sphères blanches agglomérées pour donner l’illusion d’un nuage, toute l’œuvre exposée concourt à altérer la réalité évidente. L’esthétique très pure de son travail et la déformation qu’il impose à la matière lui permettent de réaliser des créations très futuristes et de «faire faire à l’architecture des choses qu’elle n’est pas supposée faire» a-t-il confié au New York Times.
L’un de ses fréquents collaborateurs, le chorégraphe Jonah Bokaer, proposera une nouvelle performance à l’occasion de la soirée d’ouverture.
Daniel Arsham, the fall, the ball, and the wall, du 20 janvier au 16 février 2012 à la OHWOW Gallery, 937 N. La Cienega Blvd., Los Angeles, CA. Soirée d’ouverture: vendredi 20 janvier, de 18h à 21h