La règle veut que la musique française se vende plutôt mal à l’international, mais force est de constater que l’électro fait figure de belle exception.
Daft Punk, Mr Oizo, Cassius ou plus récemment Gesaffelstein sont aujourd’hui des valeurs sûres, et il se pourrait que leur cadet Dirtyphonics suivent leurs traces.
Récompensés en 2009 par le prix de “Best Newcomer Production” aux DNB Arena Awards, ce quatuor récemment devenu trio ne cesse, depuis, de remplir les salles. Ils ne devraient avoir aucun mal à remplir celle du club Therapy, samedi 30 août.
Produit par la maison de disques de Steve Aoki, leur dernier album “Irreverence” mixe avec audace drum and bass, electro et dubstep. PS: avec leur passé de rockers et la réputation de ne pas être des enfants de chœur, il est certain que vous ne vous ennuierez pas en compagnie de ces Frenchies.