(Article Partenaire) Envie d’une “business school” américaine sans vous endetter pour 4 générations ou obliger vos grands-parents à casser leur Livret A? La solution: faire vos études américaines… en France, en tout cas en partie.
C’est la spécialité du CEFAM, créé à Lyon il y a 30 ans. Les pionniers qui ont lancé l’établissement avaient compris avant les autres que l’avenir de l’éducation supérieur était international. Ils ont donc passé des alliances avec 5 universités américaines, qui permettent aux étudiants de bénéficier d’un double diplôme. “Sur les 4 années, ils en passent 3 à Lyon puis la dernière aux Etats-Unis et reçoivent un diplôme qui est exactement le même que s’ils avaient étudié quatre ans dans l’université américaine”, explique Karine Chaux-Petelet, directrice du CEFAM.
Plus qu’une école à cursus international, le CEFAM se veut “une école américaine localisée en France”, en l’occurence au coeur de Lyon. Tous les cours sont donnés en anglais par des professeurs de langue natale anglaise et en suivant scrupuleusement les programmes des business schools américaines.
Etudiants du monde entier
Le premier avantage est bien-sûr financier: seule la 4ème année, celle suivie aux Etats-Unis, est payée au tarif américain (30 à 40.000 dollars). Les trois années en France coûtent elles aux environs de 7.000 euros par an (plus ou moins selon les modules choisis). La solution séduit des étudiants venus du monde entier (l’école accueille 39 nationalités différentes), et notamment des Etats-Unis. “Quand j’explique par exemple aux élèves -et à leurs parents- de lycées français aux US qu’ils peuvent faire une business school américaine tout en passant trois ans en France -et au tarif français, ils n’en reviennent pas!” observe Karine Chaux-Petelet.
A l’issue des trois années en France (y-compris 9 mois de stage en France ou à l’Etranger), tous les étudiants rejoignent une des 5 universités partenaires: Notheastern University (Boston), Temple University (Philadelphie), Pace University (New York), Siena College (Albany) et Rider University (New Jersey). Le choix de l’établissement se fait en fonction des “majeures” choisies par l’étudiant lors des trois premières années. “Il n’y a pas de quota par établissement, souligne Karine Chaux-Petelet. Il faut avoir le minimum requis au TOEFL et une moyenne (“GPA”) de 2,5/4”. Certains élèves décrochent même des bourses qui permettent de réduire considérablement la facture de l’année américaine: “cette année, un étudiant qui avait 3,8 de GPA part à Rider avec une bourse de 21.000 dollars”.
Outre le programme de BBA (Bachelor of Business Administration) qui se fait donc en quatre ans après le bac, l’école offre également un MBA “Consulting” sur deux années, en collaboration avec Rider Université (New Jersey) et l’entreprise Sogeti (groupe Cap Gemini). Tous les étudiants issus de ce MBA se voient proposer un emploi au sein de Sogeti.
Le CEFAM est la seule école française à bénéficier de ce type d’accord avec des établissements américains. “Nous bénéficions d’avoir été pionniers: désormais les universités américaines ne s’engagent plus dans ce type de partenariat approfondi”, explique Karine Chaux-Petelet. Tant mieux pour les 70 chanceux sélectionnés chaque année!
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