A cheval entre Paris et New York, l’exposition Chronochrome rend hommage à Jesús Rafael Soto. Rendez-vous à la galerie Perrotin du 15 janvier au 21 février pour (re)découvrir le travail de l’artiste.
Une soixantaine de toiles seront exposées, toutes réalisées entre 1957 et 2003. Jesús Rafael Soto a débuté sa carrière pas à pas, au Venezuela. Il commence par peindre des affiches de cinéma. Passionné et visiblement très doué, il entre à l’école des Beaux-Arts de Caracas, avant de s’installer à Paris, où il découvre les méandres de l’art abstrait.
L’artiste collaborera avec les plus grands, notamment Fernand Léger, et Victor Vasarely. Son art visuel géométrique, qui joue sur les parallèles, reliefs, et mouvements, lui permet de se faire un nom dans le milieu de l’art. Il expose, entre autres, dans le majestueux hall du bâtiment de l’Unesco, puis au forum du Centre Pompidou, à Paris.
Décédé il y a dix ans, de grands musées continuent à lui rendre hommage, à l’image du Guggenheim, qui accueillit entre ses murs les oeuvres de Jesús Rafael Soto.