Sorti à l’automne en France, “La Princesse de Montpensier” mêle habilement film d’époque et modernité des sentiments. Dans la France du XVIème siècle, en pleine guerre de religions, Marie de Mézières (future Montpensier, jouée par Mélanie Thierry) est tiraillée entre passion et raison. Une passion qui la lie depuis son enfance à Henri de Guise (Gaspard Ulliel), une raison qui la veut mariée au Prince de Montpensier (Grégoire Leprince-Ringuet).
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Bertrand Tavernier signe une œuvre dans laquelle la femme prend une place considérable. «J’ai pris le parti de Marie parce que j’aime les femmes, j’étais d’accord avec son combat, j’étais d’accord avec la manière dont elle a essayé de survivre avec ce destin qu’on lui avait collé» a-t-il expliqué à French Morning lors de son passage à New York en mars dernier à l’occasion du festival Rendez Vous with French Cinéma.
Un film féministe sans aucun doute, mais avec de très forts rôles masculins. Et une concentration de belles gueules. Mélanie Thierry a confié au réalisateur être troublée par autant de présence masculine… «Elle avait beaucoup de chance d’avoir des jeunes gens aussi sexy autour d’elle» ajoute Tavernier. Grégoire Leprince-Ringuet, Lambert Wilson, Raphaël Personnaz, et donc Gaspard Ulliel dans le rôle du Duc de Guise.
The Princess of Montpensier sort à New York et Los Angeles le 15 avril. Disponible en “Video On Demand” à partir du 20 avril.
0 Responses
Bonne chance pour nous expliquer ce que signifie “modernité des sentiments.” ?
A moins que ce ne soit le coté “féminin” du film. auquel cas la “modernité” se limiterait à un con?
Bravo, belle formule…mais inepte!
#Zemmour