Ils ont beau avoir perdu leur triple A, retiré par Standard & Poors en août, les Américains n’ont pas perdu leur « ha, ha, ha ». Selon un sondage Associated Press-GfK paru en décembre, 62% d’entre eux se déclarent optimistes sur ce que 2012 va apporter à leur pays et 78% sont positifs concernant leurs attentes personnelles et familiales. A l’inverse, seuls 44% des Français se déclarent optimistes pour l’année à venir sur un plan personnel selon un sondage de l’institut Harris Interactive, également paru en décembre.
Mais quand ils sont négatifs, les Américains le sont plus que les Français : 68% estiment que 2011 était une mauvaise année tandis que « seulement » 50% des Français la jugent négative. Entre être optimiste et déçu ou pessimiste et rassuré, à chacun de choisir sa chapelle.