[Article partenaire] On ne le répètera jamais assez, lors d’un achat immobilier aux États-Unis, il est primordial de se faire accompagner par un agent immobilier qualifié et de confiance. D’autant plus lorsque l’on est français et, par conséquent, pas familier avec le système immobilier américain.
Jean-Luc Teinturier est un agent immobilier franco-américain, installé entre Manhattan et Greenwich, Connecticut depuis trente ans. Jean-Luc revient sur la situation actuelle de ces deux marchés.
Jean-Luc Teinturier : J’ai tout d’abord acquis une expérience en tant que salarié Directeur de filiale à New York. Je me suis ensuite dirigé vers l’entrepreneuriat, notamment sur des créations et cessions d’entreprises. Et depuis 2013, j’ai décidé de me lancer en tant qu’agent immobilier dans les États de New York et du Connecticut.
L’immobilier m’a toujours plu. J’ai effectué plusieurs transactions à titre personnel en tant que marchand de biens. Ces expériences m’ont apporté de nombreuses connaissances, qui me permettent aujourd’hui de comprendre et de m’adapter à chaque demande et problématique de mes clients ; que ce soit pour une location, un investissement immobilier ou tout simplement pour une résidence principale, en gardant en tête la revente à plus ou moins long terme.
Jean-Luc Teinturier : Ces années d’expérience m’ont permis d’apprendre à connaître et de m’entourer de professionnels français et/ou américains en qui j’ai une entière confiance : experts-comptables, fiscalistes, banquiers et avocats … Ces professionnels sont indispensables pour conseiller mes clients et les aider à prendre les meilleures décisions, limiter les risques et optimiser leur investissement immobilier.
Par ailleurs, j’ai la chance de travailler au sein du groupe Coldwell Banker, qui est le leader mondial de l’immobilier de prestige, numéro un dans le Connecticut et septième agence immobilière à New York. Coldwell Banker est présent dans plus de cinquante pays, notamment en Europe.
Jean-Luc Teinturier : Avant toute chose, il est important de noter que le COVID a, comme partout ailleurs dans le monde, changé beaucoup de choses à New York, et l’immobilier n’y a pas échappé. À Manhattan par exemple, cela fait maintenant trois ans que le marché est en chute. Nous sommes désormais sur un marché d’acheteurs dans ce borough. Brooklyn quant à lui se maintient bien, notamment car les prix y sont bien plus raisonnables. Des quartiers entiers au nord comme Williamsburg, Greenpoint, ou encore Bushwick, Bedford et Stuyvesant se gentrifient à leur tour, ce qui se traduit par une augmentation constante des loyers et des prix de vente. Il en va de même pour Midwood, situé au cœur de Brooklyn, où le prix des appartements neufs a augmenté de plus de 20% en trois ans.
Pour en revenir à Manhattan, comme dit précédemment, les prix de vente ont fortement baissé. Cependant, les loyers ont connu depuis un an de très fortes hausses, ce qui améliore la rentabilité pour les propriétaires.
Le ticket d’entrée est donc certes plus cher, mais il y a toujours de réelles opportunités à saisir pour du locatif ou pour se loger (pied-à-terre ou résidence principale), car les prix de l’immobilier à moyen terme à Manhattan vont remonter.
Jean-Luc Teinturier : Oui, il faut cependant être vigilant au quartier et faire appel à un agent immobilier de confiance qui saura vous conseiller. En termes de property tax et charges de copropriété, Brooklyn est beaucoup plus avantageux que Manhattan ; que ce soit pour des condominiums, des coop ou des petits immeubles. La rentabilité y est supérieure : de 4 a 6 % pour Brooklyn contre 2 à 3% pour Manhattan.
Jean-Luc Teinturier : Oui ! La ville de Greenwich, Connecticut, où je réside depuis plus de trente ans, offre une qualité de vie exceptionnelle. On y trouve notamment une plage réservée aux habitants de la ville, des écoles privées, un lycée ainsi qu’une école maternelle et secondaire publique d’un excellent niveau. Il y a par ailleurs huit golfs ainsi qu’un centre ville charmant rempli de restaurants qui sauront ravir les plus gourmands.
En ce qui concerne les chiffres, les taxes immobilières ou property tax y sont deux à trois fois inférieures à celles du Westchester.
Enfin, le charme, la sécurité, la proximité à Manhattan (moins d’une heure) sont autant de raisons qui font de Greenwich une ville où il fait bon vivre.
Jean-Luc Teinturier : Greenwich comporte cinq quartiers, donc cinq micro marchés : Byram au sud, Greenwich downtown au centre avec Midcountry et BackCountry, Cos Cob, Riverside et enfin Old Greenwich.
À Greenwich Midcountry et BackCountry, vous aurez la possibilité d’acquérir une belle maison avec un terrain d’un acre (plus de 4 000 mètres carré) ou plus, avec ou sans piscine (terrain piscinable). Cos Cob, à l’origine un quartier d’immigrés italiens, compte un peu moins de 10 000 habitants. Ce quartier est central et proche du centre ville, de la gare et à dix minutes de la plage. Les prix y sont plus modérés. Pour finir, Riverside et Old Greenwich sont les deux quartiers les plus proches de la plage, donc très prisés par les familles.
Jean-Luc Teinturier : Le prix moyen actuel d’une maison à Greenwich est de 2.3 millions de dollars et semble se stabiliser. Il faut toutefois garder en tête que l’inventaire est faible, pour une forte demande : il vous faudra donc un dossier solide préparé en amont et être prêt à faire une offre. Il y a en effet plus de dix acquéreurs en moyenne pour une vente.
Les prix du mètre carré à Greenwich restent en moyenne deux à trois fois moins élevés qu’à Manhattan et inférieurs à ceux de Brooklyn. La différence est encore plus flagrante si vous allez un peu plus au Nord, à Norwalk ou à Wilton par exemple.
Jean-Luc Teinturier : Bien-sûr ! Que ce soit pour un achat, une vente ou une location à New York ou dans le Connecticut, je serai ravi de prendre en charge votre recherche que j’assumerai comme si c’était pour moi même, en intégrant bien vos objectifs à moyen et long terme.
N’hésitez pas à me contacter, par téléphone et sur WhatsApp au 203.550.5945 ou par mail à l’adresse suivante : [email protected].
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