(Article Partenaire) Mon voyage sur mesure en Bolivie commencera par l’atterrissage à 4000 mètres à La Paz, plus haute capitale du monde, encerclée de géants enneigés perchés à plus de 6000.
Rareté de l’oxygène, goût sec des hauts plateaux qui pique la langue, sensation d’ailleurs immédiate.
Je me perdrai dans les couleurs et les senteurs des marchés populaires, assisterai au défilé joyeux et bruyant d’une bande de caporales ou de morenos, m’émerveillerai de voir l’Illimani surgir à tout instant entre deux immeubles.
Puis j’irai contempler le Titicaca, sacré lac, lac sacré, que les incas ont paré de leurs légendes fantastiques.
Et je me dégourdirai les jambes en sautillant de l’île du soleil à celle de la lune.Je traverserai l’altiplano pour dévorer l’immensité blanche du salar d’Uyuni, dont les limites flottent dans l’infini.
J’irai taquiner les flamants qui pataugent, impassibles, dans l’eau glacée des lagunes du Lipez, tandis que des vigognes farouches gambadent alentour.
J’éprouverai l’Histoire, tragique et magnifique à la fois, qui a modelé Potosí et Sucre, villes coloniales aux destins mêlés.
Je ferai monter l’adrénaline en descendant à vélo la route des Yungas.
Quelques heures, à peine plus de kilomètres, pour passer du froid aride des Andes à la chaleur et à l’éxubérance des vallées tropicales.
Elles annoncent la grande plaine qui, plus bas, s’étire interminablement jusqu’aux confins du pays, couverte d’Amazonie au nord, de llanos au sud.
Les Llanos ? Près de Santa Cruz, je découvrirai les Missions Jésuites, exquis vestiges de l’épopée des soldats de Dieu en Amérique latine, et temple moderne de la musique baroque.
La Bolivie m’aura dévoilé, plus que ses mondes, la force de son authenticité.
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