Palm and Milk, c’est une nouvelle boutique en ligne pour combler les familles. On y trouve un éventail d’articles pour les parents et leurs enfants. Des peluches au linge de maison, en passant par des vêtements d’allaitement, des biberons, des matelas à langer et des accessoires (sacs, pochettes, etc.). L’ensemble se décline dans des teintes naturelles avec un design soigné et élégant. « Tout ce qui est proposé est fabriqué de manière éco-responsable, dans des matières de haute qualité et des coloris tout doux. Mon idée : offrir des produits durables, mixtes et intemporels » explique Géraldine Louvel, fondatrice de Palm and Milk.
Inauguré début décembre, le concept store s’inspire des manques ressentis par l’entrepreneuse pendant sa grossesse. « Je suis maman d’un petit garçon de 20 mois et j’ai eu beaucoup de mal à trouver des choses qui me plaisaient vraiment. Pour moi comme pour lui… Des marques sobres et non genrées. Ni bleu, ni rose ! » précise-t-elle. Face à ce constat, Géraldine Louvel, architecte de formation, spécialisée en scénographie et passionnée de design décide alors de lancer sa propre boutique. « J’ai toujours aimé l’univers de l’enfance et tout s’est combiné avec ce projet. Ma maternité, mon amour du design comme de la photo » ajoute-t-elle.
Expatriée à San Francisco depuis 2018, Géraldine Louvel y a suivi son mari avec enthousiasme. Elle exprime aujourd’hui avec son concept toutes les facettes de sa personnalité. Jusque dans le nom de la marque : « “Palm” parce que je vis en Californie et que j’adore les palmiers, le surf, le skateboard, le côté cool et slow Life. “Milk” parce que c’est l’aliment favori des petits, que j’allaite toujours et que je trouve ça magique ! ». Sur le plan graphique, l’association des deux mots plaisait aussi beaucoup à la jeune maman.
Sur la plateforme de vente Géraldine Louvel propose ses marques coups de cœur. La Cerise sur le Gateau, Main Sauvage ou Tajine Banane par exemple. Nombre d’entre elles sont françaises. La fourchette des prix varie selon les produits, avec des bavoirs à $14, des sacs à $60 ou des robes à $120. « J’encourage à consommer moins et mieux. Mais il faut que les prix restent raisonnables » assure-t-elle. Dans une démarche de consommation responsable, elle ne dispose par ailleurs que de stocks limités.
De nouvelles marques viendront étoffer son catalogue ces prochaines semaines et Géraldine Louvel espère y ajouter des activités en lien avec l’architecture, comme des maquettes. En parallèle, elle collabore avec Gazette Store, un concept store en ligne tenu également par une Française et qui met met à l’honneur des marques éthiques. Elle avait commencé à y travailler en 2018 afin d’améliorer son anglais.
Elle alimente en outre un blog commencé il y a dix ans (dans lequel on retrouve ses différentes influences), et elle prépare bien sûr l’avenir, des rêves à l’horizon. Un pop-up store pour commencer et pourquoi pas une boutique avec avec pignon sur rue ensuite. « Le fait d’être ici me donne des ailes ! » sourit ainsi la créatrice.