(Article partenaire) La crise sanitaire qui touche actuellement le monde entier soulève un grand nombre de questions et d’incertitudes pour de nombreuses personnes à travers la planète. Qu’en est-il des Français expatriés ? Nous faisons le point sur la situation pour les non-résidents.
Alors que l’épidémie de coronavirus débutait en Chine fin décembre 2019, elle s’est aujourd’hui propagée dans tous les continents, au sein de 183 pays, en un peu plus de 3 mois. Au 6 avril 2020, on compte 1.289.380 cas confirmés et 70.590 décès suite au Covid-19 dans le monde, selon le Centre pour la science et l’ingénierie des systèmes (CSSE) de l’Université Johns Hopkins de Baltimore, qui propose notamment une carte avec l’évolution du nombre de cas dans le monde.
En France, 93.780 cas ont été confirmés, et 8.093 décès ont été déplorés, faisant de l’Hexagone le 5ème pays le plus touché, après les États-Unis, l’Espagne, l’Italie et l’Allemagne. Le nombre de cas en France double tous les 3 ou 4 jours, comme le rappelait Édouard Philippe dans sa conférence de presse du 28 mars. Il a par ailleurs annoncé un prolongement du confinement pour deux semaines supplémentaires, jusqu’à mi-avril, alors que la France terminait déjà sa deuxième semaine de confinement.
Les Français expatriés sont, quant à eux, très limités dans leurs déplacements. En effet, près d’une quarantaine de pays a déjà fermé ses frontières, ou a imposé des restrictions d’accès aux voyageurs français. C’est notamment le cas pour les États-Unis, l’Union européenne et l’Espace Schengen, la Chine, le Japon, la Thaïlande, la Nouvelle-Zélande, l’Inde, la Russie, le Pérou…
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Suite à la soudaine fermeture des frontières et de la majorité des lignes aériennes au sein de nombreux pays, 130.000 Français, touristes et expatriés, se sont retrouvés bloqués à l’étranger dans l’attente de pouvoir rejoindre la France. La grande majorité d’entre eux a pu être rapatriée, mais 20.000 Français sont toujours dans l’attente de pouvoir revenir dans leur pays d’origine.
Les Français de l’étranger sont invités à s’inscrire sur le site Ariane, du ministère des Affaires étrangères. Cela permet d’une part de répertorier les ressortissants de l’Hexagone et ainsi de prendre contact avec eux plus facilement. De plus, les expatriés inscrits sur le site pourront être prévenus de toute nouvelle information ou alerte.
Il est conseillé aux expatriés qui souhaitent rentrer en France de se renseigner au préalable sur le site des Affaires étrangères, afin de connaître les recommandations du gouvernement.
En ce qui concerne la couverture médicale des non-résidents à leur retour en France, les députés ont récemment voté en faveur de la suspension du délai de carence de trois mois. D’ordinaire, ce délai est imposé aux expatriés de retour en France, après avoir séjourné à l’étranger pendant une longue période.
Grâce à cette nouvelle réglementation, tous les non-résidents français faisant le choix de rentrer dans l’Hexagone pourront accéder automatiquement à la Sécurité sociale.
Beaucoup d’expatriés choisissent de rester chez eux, dans leur pays d’expatriation, pendant la crise sanitaire. En effet, de nombreux pays n’affichent désormais que très peu de cas et certains non-résidents ont même pu retrouver un quotidien plus ou moins normal.
L’économie est également fortement impactée par la pandémie, qui a déjà entraîné un krach boursier à l’échelle nationale et internationale. Toutefois, en ce qui concerne l’immobilier, on peut s’attendre à ce que l’impact soit plus positif. En effet, suite à cette crise inédite, les taux de crédit immobilier vont probablement baisser. De plus, quand le confinement aura pris fin en France, il faut s’attendre à ce que l’activité et les transactions immobilières remontent en flèche. Beaucoup de biens vont également être mis en vente, et il y aura donc sûrement des opportunités intéressantes à saisir.
On constate aussi que, malgré cette urgence sanitaire, l’immobilier ne perd pas de son dynamisme, et les prix sont toujours élevés dans les grandes villes attractives de France, comme Paris, Lyon, Bordeaux ou Marseille.
L’immobilier est par ailleurs connu pour constituer une valeur refuge pendant des périodes de crises ou d’incertitudes. Investir dans un bien immobilier permet notamment de mettre à l’abri ses avoirs et de sécuriser son avenir et celui de ses enfants, ce qui est particulièrement judicieux dans le contexte actuel.
Ainsi, plusieurs expatriés se préparent à investir dans l’Hexagone, où le marché de l’immobilier reste encore très stable et favorable.
Vous souhaitez investir dans l’immobilier français une fois la crise sanitaire passée ? C’est maintenant qu’il faut commencer à préparer votre projet. Contactez My expat pour vous faire aider dans les démarches et pour investir depuis votre pays d’expatriation.
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