Venez découvrir une sélection de films réalisés par une «génération perdue» de cinéastes américains, qui ont fui les Etats-Unis en plein maccarthysme. A voir du 25 juillet au 17 août au Billy Wilder Theatre.
Alors que certains sont partis pour le Mexique, d’autres, comme Jules Dassin, Joseph Losey (ci-dessus), Cy Endfield, Ben et Norma Barzman et Donald Ogden Stewart, ont trouvé refuge à Londres, Paris et Rome. Sept films de ces exilés américains – réalisateurs, acteurs, scénaristes – sont au programme:
25 juillet à 19h30 : Christ in Concrete (UK/US, 1950) a.k.a. Give Us This Day/Salt to the Devil. En présence de Norma Barzman et de l’auteure Rebecca Prime –séance de dédicace à 19h.
26 juillet à 19h30 : Du rififi chez les hommes (France, 1955); Night and the City (UK/U.S., 1950)
1er août à 19h30 : Hell Drivers (UK, 1956); Impulse (1954). En présence de l’auteur Alan K. Rode.
4 août à 19h30 : The Intimate Stranger a.k.a. Finger of Guilt (UK, 1956); Stranger on the Prowl (Italy/U.S., 1952)
9 août à 15h : These are the Damned (UK, 1963); Escapade (UK, 1955)
13 août à 19h30 : Pardon My French (France/U.S., 1952); Headlines of Destruction (Je suis un sentimental) (1955)
16 août à 15h : The Victors (1963)
17 août à 19h : Eve (Eva) (France, 1962) ; Time Without Pity (UK, 1957)