Il y a 10 ans, je posais mes valises en Caroline du Nord. Depuis, j’en suis partie et j’y suis revenue, avec ma famille. Moi qui, avant, ne situais même pas cet État sur une carte des États-Unis, je ne saurais résumer à quel point la Caroline du Nord en famille est une belle destination, tant il y a à faire et à voir. Mais je vais quand même essayer de le faire dans ce nouvel article de la série voyage en famille aux États-Unis. Je vous y parle des incontournables à voir en Caroline du Nord, mais aussi de comment organiser un séjour kid-friendly inoubliable.
Je suis Nelly Jacques, spécialiste du voyage aux États-Unis depuis des années et, depuis l’arrivée de mon fils, je me suis spécialisée dans le voyage en famille à travers le pays. Cette semaine, on met donc le cap sur la Caroline du Nord en famille.
Il y a quelques années, j’aurais dit « pas grand-chose », mais ça, c’était avant « Outlander ». Si vous avez vu la série, vous avez déjà remarqué la diversité de paysages de la Caroline du Nord, des plages sauvages de la côte aux denses forêts vallonnées des Appalaches. Mais la Caroline du Nord, vous l’avez peut-être déjà découverte depuis longtemps si vous connaissez vos classiques. Vous vous rappelez des jolis pontons et des marais de la série « Dawson » ? C’est Wilmington et sa région qui ont servi de décors pour de nombreuses scènes. Et la rivière des « Frères Scott », c’est aussi là où a été tournée la série. La Caroline du Nord, c’est aussi un riche passé de plantations et de production de tabac. C’était le siège de RJ Reynolds Tobacco Company, basée à Winston-Salem avec ses célèbres best-sellers tels que Camel, Winston, et Salem. Les productions de Lucky Strike et Philip Morris avaient aussi un pied-à-terre ici.
Puis, la production et la consommation de tabac se sont effondrées en même temps que l’économie de la Caroline du Nord. Certaines villes sont tombées dans l’oubli, dans la pauvreté et la précarité, jusqu’à l’implantation de centres de recherche de prestige. L’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill (UNC), Duke University à Durham, et North Carolina State University à Raleigh forment aujourd’hui un triangle de recherche qui a totalement redynamisé l’État et attire une population internationale. Capitalisant sur la proximité de cette émulation universitaire, la création du RTP a donné naissance au plus grand parc de recherche scientifique et technologique des États-Unis, qui ferait presque de l’ombre à la Silicon Valley.
Voilà en partie pourquoi la population en Caroline du Nord augmente autant depuis ces dernières décennies, avec une forte migration inter-étatique, mais ce n’est pas tout. La douceur du climat, la nature et les nombreuses activités familiales plaisent aussi bien aux visiteurs qu’aux résidents.
Les saisons en Caroline du Nord sont très marquées. Ne vous y méprenez pas : si la région est si verte, c’est parce qu’il pleut fréquemment, mais rarement très longtemps, et le soleil franc n’est jamais loin.
En dehors de l’été, avec sa chaleur et ses moustiques, il n’y a pas vraiment d’éléments à considérer avant de venir visiter la Caroline du Nord en famille, si ce n’est de bien choisir sa saison et sa destination en conséquence. Si vous prévoyez de venir en avion, je vous conseille d’arriver à l’aéroport de RDU (Raleigh-Dhuram International Airport) si vous prévoyez plutôt de partir vers la côte, et à celui de Charlotte si vous allez du côté des montagnes. Les deux aéroports fonctionnent très bien si vous prévoyez de rayonner sur tout l’État. Il faut compter environ 6h pour le traverser d’est en ouest et de 2h à 4h du nord au sud. En voiture, vous pouvez facilement rejoindre la Caroline du Nord depuis le Tennessee, la Virginie, la Virginie-Occidentale, la Caroline du Sud ou encore la Géorgie. Ce qui en fait une étape importante d’un road trip dans le sud des États-Unis.
C’est un incontournable de la Caroline du Nord en famille. Cette immense région s’étire des montagnes à la côte. Elle est composée de plaines forestières et ponctuée de lacs, de rivières et de villes dynamiques. Parmi celles-ci : Charlotte, la plus grande ville de l’État avec ses immeubles et ses nombreuses attractions ; Winston-Salem avec sa partie moderne Winston et son centre historique du XVIIIᵉ siècle, Old Salem ; l’ancienne ville industrielle de Greensboro ; Raleigh, la capitale de l’État aux nombreux musées gratuits ; ou encore les villes universitaires de Durham et Chapel Hill.
Pour moi, un voyage dans le Piedmont inclut des visites urbaines, avec un passage dans les campus universitaires (particulièrement celui de Durham et de Chapel Hill), une exploration des anciennes usines de tabac réhabilitées en lieux de détente et de sorties, du temps dans les musées et un arrêt gourmand dans les food courts ou adresses de BBQ (spécialité de l’État).
Ces visites doivent être complétées par des arrêts nature : une balade dans un parc d’État, une trempette dans une rivière ou un BBQ au lac. Le Piedmont réserve quelques jolies surprises à ceux qui sauront quitter les sentiers battus, comme une région viticole, la Yadkin Valley, ou l’une des plus petites forêts nationales du pays, la Forêt nationale d’Uwharrie.
La côte débute au nord, à la frontière de la Virginie. Elle commence avec les Outer Banks, ce chapelet d’îles sauvages que l’on relie via des ponts ou des ferries, et qui s’étire jusqu’à la partie centrale de l’État avec Beaufort. La côte continentale prend ensuite le relais jusqu’à toucher la Caroline du Sud et la célèbre station balnéaire de Myrtle Beach. Entre les deux, on trouve Wilmington et la presqu’île de Carolina Beach (deux destinations très populaires), des villes plus petites comme New Bern, avec un vrai centre et un charme alliant côté historique et ambiance côtière, ou des villes balnéaires comme Surf City. J’aime beaucoup cette côte, entre marais, grandes plages de sable, jetées en bois et petites villes typiques du sud. Mes adresses préférées, en dehors des incontournables, sont Edenton, petite ville du sud isolée, paisible et hors du temps, et Southport, une très jolie bourgade, bordée de mansions les pieds dans l’eau, d’un petit centre-ville commerçant et d’une zone portuaire industrielle avec ses bars de bord de mer.
Autre région parfaite pour découvrir la Caroline du Nord en famille : les Appalaches, qui marquent la fin de l’État et la frontière avec le Tennessee à l’ouest et la Virginie-Occidentale au nord. C’est ici que se trouve le parc national le plus visité des États-Unis, le parc des Great Smoky Mountains. Cette chaîne de montagnes est connue pour ses reliefs brumeux que l’on croirait fumants. Le parc accueille un écosystème d’une rare diversité : une grande population d’ours noirs, de nombreux cerfs de Virginie, des dindons sauvages et de fragiles salamandres. Une terre de cascades, de cours d’eau et de points de vue à couper le souffle. Mais j’aime aussi en profiter pour aller visiter Cherokee, la ville gérée par la tribu du même nom, la belle et animée ville d’Asheville, ou pousser plus au nord dans la forêt de montagnes de Pisgah, notamment du côté de Leadville, avec ses cascades, ses grottes et ses anciennes mines, ou encore du côté de Boone. Je vous donne un itinéraire un peu plus bas pour découvrir la région.
Pour être sûr de voir de belles choses dans les montagnes, il suffit de suivre la Blue Ridge Parkway, cette route scènique qui prend naissance dans les Smoky Mountains et relie la Virginie en alternant points de vue, cascades et de nombreuses autres attractions naturelles de l’État.
Voilà quelques itinéraires kid-friendly à faire séparément ou combinés.
Je vous propose un itinéraire dans l’ambiance des grandes villes américaines avec une touche de nature qui risque de vous surprendre.
À 30 minutes du centre de Charlotte, commencez votre journée par une visite du Carolina Raptor Center. Ce centre de conservation et de réhabilitation des rapaces, situé au milieu de la forêt, vous permettra de voir de nombreux rapaces, avec des démonstrations et spectacles (selon les moments de la journée et de l’année, pensez à vérifier la programmation à l’avance). Puis, pourquoi ne pas pousser jusqu’au lac Norman pour déjeuner au bord de l’eau ? Vous trouverez de nombreuses options de restauration au niveau de la péninsule. Ce sera peut-être aussi l’occasion de faire une baignade ou de vous balader avant de rejoindre le centre de Charlotte.
Si vous séjournez en centre-ville, pourquoi ne pas aller vous promener du côté du petit parc urbain Romare Bearden Park, qui offre une vue sur la skyline de la ville ? Prévoyez de passer par l’allée couverte de La Latta Arcade et peut-être de dîner dans le food court de The Market at 7th Street (en choisissant votre heure et votre jour pour éviter l’engouement du week-end, qui est un peu moins kid-friendly).
Le lendemain, débutez votre journée dans le NASCAR Hall of Fame. Ses démonstrations ludiques plaisent généralement beaucoup aux enfants et vous permettront de découvrir l’histoire des célèbres courses Nascar, qui ont une histoire particulière liée à la ville de Charlotte et sa région (la piste Charlotte Motor Speedway et plusieurs lieux de production y sont installés). De là, regagnez le Discovery Place, le musée des enfants, en privilégiant la marche au pied des buildings. Le centre financier de Charlotte est un lieu agréable et animé. Une fois arrivé au musée, prévoyez quelques heures devant vous. Vos enfants ne sauront plus où donner de la tête entre le théâtre IMAX, la forêt humide, la partie robotique et les différentes activités artistiques.
Pour votre dernier jour, si vous avez le temps, prévoyez un arrêt au Levine Museum of the New South, un passionnant petit musée dédié à l’histoire de l’État. Puis, préparez-vous pour l’aventure et rejoignez le U.S. National Whitewater Center. Ce centre d’activités sportives de plein air est connu pour sa piste artificielle de rafting en eaux vives, la plus grande du pays. On peut aussi y faire de l’escalade, de l’accrobranche, de la tyrolienne et différentes activités aquatiques. La visite est plus adaptée aux enfants âgés de plus de 7 ans, bien que le lieu accueille un nouvel espace où les tout-petits peuvent aussi s’entraîner au vélo et à crapahuter. Je vous conseille de déjeuner sur place au The River’s Edge Bar & Grill. C’est bon et la vue sur la rivière est précieuse, mais il faut parfois s’armer de patience le week-end.
Une autre option pour ce dernier jour peut être de passer la journée dans le parc d’attractions de Carowinds, qui est très populaire, surtout pour ses montagnes russes connues dans tout le pays. Mais anticipez la chaleur en été et les longues files d’attente.
À Durham, prévoyez de flâner dans le campus de Duke, posez-vous dans les jardins de Sarah P. Duke Gardens, particulièrement poétiques au printemps, et déjeunez dans le food court du Brodhead Center. Puis, rejoignez le centre de Durham, allez faire un coucou au fameux Bull de Durham, cette sculpture de bronze emblématique de la ville. Vous pourrez tester l’une des glaces très appréciées des locaux chez The Parlor avant d’aller visiter l’hôtel 21C. À l’étage, vous découvrirez des expositions d’art contemporain et au sous-sol, l’ancienne banque avec son coffre-fort et sa petite curiosité secrète qui amuse bien les enfants. Enfin, regagnez l’ancien campus industriel de American Tobacco Campus pour faire un peu de shopping ou juste flâner.
Si vous avez le temps et le budget, prévoyez une visite du centre de préservation Duke Lemur Center. Un guide vous conduira dans la forêt où vivent les lémuriens et vous expliquera tout le travail de préservation de l’espèce mené par le centre de recherche.
Il y a beaucoup à faire à Raleigh avec des enfants. Parmi mes visites préférées :
Les Outer Banks, ce n’est pas qu’une série cheesy (qui n’a même pas été tournée ici), c’est une région très spéciale qui se visite avec un minimum de temps devant soi. Voici un itinéraire à faire sur un long week-end.
Prévoyez une arrivée par la terre du côté de Manteo, sur Roanoke Island. Vous vous baladerez dans le joli centre de Manteo et jusqu’au phare au bord de la baie Shallowbag Bay. Vous pourrez pousser jusqu’au Roanoke Island Festival Park pour voir la reconstitution de l’ancienne colonie anglaise. Si le site est fermé ou si vous préférez la nature, contentez-vous d’une balade sur la petite île entre marais et mer intérieure. L’aquarium de North Carolina Aquarium on Roanoke Island terminera en beauté cette première immersion dans les Outer Banks.
Le lendemain, vous entrez dans le vif du sujet et traversez le pont pour rejoindre la bande de terre qui s’étire dans l’océan Atlantique en une poignée d’îles plus ou moins larges et plus ou moins urbanisées. Nags Head n’est pas l’île la plus sauvage, mais elle reste incontournable pour son phare de Bodie Island, son state park de Jockey’s Ridge dans les dunes, son Wright Brothers National Memorial, qui immortalise le premier vol motorisé et contrôlé des frères Wright ici même en 1903. Jennette’s Pier est une pause baignade populaire. Ce que j’aime le plus à Nags Head, c’est le camping dans les dunes d’Oregon Inlet Campground. Camper dans les dunes et pouvoir rejoindre l’océan en quelques secondes, c’est vraiment un luxe qu’on peut s’offrir ici pour presque rien.
Pour votre troisième jour, vous allez mettre le cap au sud, en passant d’îles en îles par des ponts ou des ferrys. La route sera parfois si étroite que vous vous enfoncerez au milieu des dunes avec l’océan de part et d’autre. Vous croiserez des phares et des plages sauvages, arrêtez-vous au gré de vos envies, avec un stop dans la réserve de Pea Island National Wildlife Refuge. La balade dans les marais vous permettra d’observer la faune locale. C’est beau, paisible, sauvage à souhait. Vous rejoindrez Ocracoke en fin de journée. Prévoyez de dîner dans l’un des bars-restaurants sur l’eau. Le lendemain, flânez dans la petite ville tranquille aux airs de bout du monde et sur ses plages avant de rejoindre le continent en ferry (renseignez-vous sur les traversées en amont – comptez environ 2h30 pour rejoindre Cedar Island).
Si vous n’avez pas le temps d’aller dans le nord des Outer Banks, le sud, dont la jolie ville de Beaufort, est une belle alternative. De là, vous pourrez prendre des excursions en mer pour observer les dauphins, aller à la rencontre des chevaux sauvages sur Shackleford Banks ou rejoindre la dernière île des Outer Banks, la sauvage et uniquement accessible par bateau, Cape Lookout.
Je connais Boone (ville universitaire au joli centre-ville) depuis des années. Cet été, j’ai découvert une autre destination au pied des montagnes, tout près de là. Il s’agit de Blowing Rock, voici le programme de notre visite estivale.
Le premier jour, nous avons passé l’après-midi dans le petit parc d’attractions de Tweetsie Railroad. Les parcs d’attractions, on adore ça dans la famille, mais pas n’importe lesquels. On aime les parcs avec une âme, on cherche le petit quelque chose en plus et on l’a trouvé ici avec la vue sur les montagnes et le thème du Far West. Alors clairement, ce n’est pas la meilleure destination pour se faire des frayeurs dans des montagnes russes sans fin, mais c’est le bon endroit pour s’amuser dans un joli cadre. On a assisté à quelques spectacles, pris le train à vapeur et enchaîné les manèges bon enfant qu’on a pu faire avec notre fils de 3 ans.
Puis, nous avons posé nos valises au Meadowbrook Inn à Blowing Rock dans une suite très spacieuse. La piscine intérieure, le jardin et le petit-déjeuner étaient déjà très appréciables pour un séjour en famille, mais ce qui était exceptionnel pour nous, Européens résidents aux États-Unis et en manque de marche à pied, c’était la situation en plein cœur de la ville. Durant ces 2 jours, nous avons été au restaurant à pied, au bar (en terrasse, un gros plus), au playground ou encore en balade au bord de l’étang et le long de la rivière. J’ai beaucoup aimé le centre de Blowing Rock, ses nombreuses boutiques et restaurants, cette ambiance à la fois chic et paisible, vivante et populaire, les fleurs un peu partout et l’oasis de verdure créée par le parc et le playground au milieu de la ville. Je n’avais qu’une hâte : y revenir aux couleurs de l’automne en imaginant à quel point cela devait être magnifique.
De là, nous avond pu rayonner facilement sur la région et découvrir la montagne de Grandfather Mountain. Une montagne privée, c’est conceptuel pour un Européen, mais l’entrée donne droit à une expérience assez unique. Notre première étape a été le pont suspendu du Mile-High Swinging Bridge, qui enjambe les montagnes à 1 200 mètres au-dessus de la mer. Nous étions plongés dans la brume et le crachin quand le soleil nous a fait don de sa présence, découvrant soudainement toute la vallée à nos pieds. La magie a opéré immédiatement. Avec plus de temps, nous aurions pu partir randonner, car il existe de très beaux itinéraires, mais nous avons privilégié le Grandfather Mountain Nature Preserve, qui accueille des espèces non réhabilitables. On parcourt les sentiers pour se rapprocher des enclos des ours, cerfs, aigles, et même des cougars. Selon les horaires, on peut même assiter à un programme éducatif avec les rangers. Sur place, on trouve un restaurant (restauration rapide de type musée) et un centre d’exposition. Mon fils a adoré.
La Caroline du Nord est une destination où l’on peut tant apprendre à nos enfants. L’une de ses particularités, c’est qu’elle abrite une ville tribale au fonctionnement particulier. La ville de Cherokee, qui porte le nom de sa tribu, n’est pas sous la juridiction de l’État de Caroline du Nord, mais bénéficie d’une autonomie tribale. L’histoire des Cherokees de Caroline du Nord est unique et elle se raconte dans le Museum of the Cherokee Indian qui met en scène de façon ludique l’histoire de cette tribu et la manière dont les Cherokees ont résisté à l’époque de la déportation massive, le « Trail of Tears ».
Autre incontournable : Oconaluftee Indian Village, une reconstitution en plein air d’un village Cherokee avec des spectacles et des démonstrations de la vie dans la tribu à l’époque.
Une ville historique du XVIIIᵉ siècle qui raconte la vie d’une communauté religieuse persécutée en Europe et qui a trouvé refuge en Caroline du Nord. Ce musée à ciel ouvert est une façon très agréable de raconter l’histoire aux enfants. On se balade dans les rues du centre historique, on passe de bâtiment en bâtiment, on assiste à des démonstrations d’artisanat et on en apprend davantage sur la vie au XVIIIᵉ siècle.
Étendu sur près de 2 600 acres, le zoo d’Asheboro est l’un des plus grands du pays. De nombreux programmes éducatifs mettent en lumière son travail de conservation et de protection des espèces menacées ainsi que de leur habitat naturel.
En Caroline du Nord, un phénomène naturel exceptionnel se produit : des lucioles qui se synchronisent pour offrir un spectacle lumineux. Le Synchronous Fireflies se déroule entre fin mai et juin. Si vous êtes dans la région des Smoky Mountains à cette période, il vous faudra vous inscrire à la loterie 1 ou 2 mois à l’avance. Ce phénomène est très populaire et les places sont limitées, mais si vous avez la chance d’en obtenir, vous ne le regretterez pas.
Certaines capitales américaines offrent un accès gratuit à leurs musées. Les musées américains sont toujours ludiques, ce qui en fait une excellente activité pour visiter une destination en famille.
Cela vous a donné envie de visiter la Caroline du Nord en famille ?
Il est conseillé de prévoir 10 jours minimum si vous souhaitez visiter l’ensemble de l’État, des montagnes à la côte. Une semaine peut suffire si vous vous concentrez sur une région spécifique.
Cela dépendra de votre façon de voyager. La vie n’y est pas donnée, mais ce n’est pas une destination particulièrement chère.
Les villes du Piedmont, la côte et les montagnes.