[Article partenaire] Êtes vous l’héritier·e d’une riche fortune ? Ne répondez pas « non » trop vite, vous pourriez être surpris·e.
French Morning est parti à la rencontre de Brice Roudier, généalogiste successoral au sein de Coutot-Roehrig, la société européenne leader en matière de recherche d’héritiers. Brice Roudier travaille au Département International de Coutot-Roehrig, qui est dirigé par Mélissande Doehler.
Quand on parle de généalogie, on pense souvent à ces bons vieux arbres généalogiques que certains aimaient faire plus jeunes en famille. Pour les plus courageux, ces enquêtes familiales ont pu vous permettre de découvrir des membres lointains, parfois même des cousins de cousins. Mais ça s’arrête souvent là.
En revanche, on connaît assez peu la généalogie successorale. Le généalogiste successoral est missionné pour retrouver les héritiers lointains lors d’un décès. Les généalogistes successoraux, véritables Sherlock Holmes des temps modernes, sont la plus grande partie du temps sollicités par les notaires suite à un décès.
Brice Roudier est généalogiste successoral depuis dix-huit ans et s’est spécialisé dans les successions aux États-Unis. Se définissant lui-même à la fois détective et historien, son quotidien est de creuser, démêler les histoires familiales dans le but de trouver des héritiers. « Je pars de l’acte de décès de la personne, puis je remonte le fil de sa vie, explique Brice Roudier. Généralement, je commence par des recherches sur internet, puis je me rends dans les comtés, mairies ou autres administrations pour rechercher des testaments/titres de propriété. Il m’arrive également de travailler avec d’anciens policiers/détectives. »
« Ce qui me plaît le plus dans mon métier, ce sont les moments où je pars aux États-Unis. C’est là que je peux rencontrer du monde et voir les résultats de tout mon travail réalisé en amont. » C’est également aux États-Unis que Brice Roudier est le plus à-même d’enfiler sa casquette de détective : la base de données et d’informations y est beaucoup moins exhaustive qu’en France. Le généalogiste successoral est donc plus souvent amené à se rendre sur le terrain et poser des questions. « Il y a des héritiers que je peux trouver en deux jours, d’autres en quatre ans » conclut Brice Roudier. Certaines enquêtes peuvent notamment être ralenties par un manque de confiance : les personnes sont réticentes à l’idée de donner des informations familiales et/ou personnelles à un inconnu. Pas étonnant lorsqu’on sait que le nombre d’arnaques dans ce secteur augmente régulièrement.
Gagner la confiance et prouver la légitimité de la démarche de Coutot-Roehrig à de potentiels héritiers est donc l’un des défis de Brice Roudier.
« Lorsque je contacte les gens aux États-Unis, ils savent généralement déjà qu’ils ont, ou avaient, de la famille en France. Mais certains sont parfois méfiants, je dois alors les rassurer et leur confirmer que la démarche de Coutot-Roehrig est légitime et fiable, continue Brice Roudier. Chez Coutot-Roehrig, nous avons en effet travaillé dès le début pour avoir un grand réseau de correspondants et de contacts affiliés au consulat français de San Francisco et celui de New York, mais aussi de nombreux avocats et détectives. » Ce réseau, ainsi que les 125 ans d’expérience de la société, sont aujourd’hui ce qui permet à Coutot-Roehrig d’être la première société européenne de recherche d’héritiers.
Si vous êtes contacté·e par Coutot-Roehrig, pas de panique : leur approche est légitime.
« Les héritiers n’ont rien à faire, Coutot-Roehrig s’occupe de tout, du début de la recherche jusqu’au moment où les héritiers touchent leur part. » confirme Brice Roudier.
Pour des raisons d’efficacité et pour pouvoir trouver les héritiers, les généalogistes de Coutot-Roehrig seront amenés à vous poser des questions précises et personnelles. Pas d’inquiétudes à avoir : la société est soumise au droit français et répond donc du RGPD en matière de sécurité des données et de confidentialité. Aucune de vos informations ne sera communiquée à une tierce personne.
Enfin, financièrement parlant, vous n’aurez rien à débourser. Toutefois, l’intervention de Coutot-Roehrig n’est pas gratuite pour autant : si le dossier est terminé et que les héritiers touchent leur part, des honoraires sont prélevés sur l’héritage avant de reverser les fonds.
Coutot-Roehrig est la plus importante société de recherche d’héritiers. Créée en 1894, elle possède 33 succursales en France et 13 en Espagne, Belgique, Italie, Suisse, Luxembourg et États-Unis.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site internet de la société.
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