(Article partenaire) J’étais de nouveau célibataire, trois ans après. Alors après avoir séché mes larmes de crocodile, j’ai pris mes cliques et mes claques et suis parti m’installer de l’autre côté de l’Atlantique. Une nouvelle vie d’expat’ à New York, “ville des célibataires”, où j’ai enchainé les dates avec plus ou moins de succès depuis un an.
De nouveau prêt à construire une relation sérieuse aujourd’hui, j’ai sauté le pas en téléchargeant Tinder et Happn, deux applications incontournables aux Etats-Unis. Bilan des courses ? J’ai testé Tinder et adoré Happn.
L’utilisation de l’application
En swipant à gauche et à droite sur Tinder, j’ai l’impression de tourner sans fin les pages d’un mauvais magazine. Ce mode de présentation des profils est aussi addictif que chronophage. Sur Happn à l’inverse, les profils sont présentés dans un fil d’actualité à la Facebook, ce qui offre une vue d’ensemble et permet de gagner du temps.
Du réel dans le virtuel
Dans la rue, en terrasse, au boulot, en soirée… Grâce à l’hyper-géolocalisation, Happn me permet de rencontrer des filles que j’ai croisées dans la vraie vie et que j’aimerais retrouver. Après avoir réglé les mêmes paramètres de recherche que Tinder (sexe et âge), Happn me propose une suite de profils avec des photos et des précisions comme “croisée deux fois”, “croisée pour la première fois il y a 25 minutes”. J’aime ce mode de fonctionnement qui raccroche à la réalité. J’aime me dire que j’ai peut-être croisé la femme de ma vie dans le métro ce matin ou dans la rue hier soir, plutôt que sur une application.
La qualité contre la quantité
Un pote m’avait prévenu : “Tinder, c’est l’ubérisation du cul“. Il n’avait pas tort. Avec le swipe à gauche ou à droite de Tinder, j’ai vite tendance à liker des profils par dizaine, sans vraiment m’attarder sur les photos. J’engage ensuite des discussions à la pelle et me surprend à proposer des rencards le jour même à des filles que je ne connais même pas. Et le résultat du rendez-vous importe peu, car dès le lendemain, je passe à la suivante ! Happn a au contraire cette touche de romantisme à la française. Savoir que les filles présentes sur l’appli sont autour de moi me donne envie de m’attarder sur leur profil. La discussion qui suit est naturellement plus sérieuse, comme le premier rendez-vous.
Mes cinq premiers mois sur Happn m’ont permis de faire une belle rencontre. Abigail est une Américaine d’origine polonaise, et il se trouve qu’elle travaille dans le même bâtiment que moi ! Nous ne nous sommes vus que deux fois pour l’instant, mais qui sait ce que l’avenir nous réserve ?
Happn est disponible partout dans le monde, disponible en téléchargement gratuit sur Android et iOS.
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