Les ventes en ligne se portent bien aux Etats-Unis, la preuve avec la vague 2011 de soldes post-Thanksgiving ! Cette année, lors du traditionnel “Black Friday”, le premier vendredi après Thanksgiving qui marque le coup d’envoi des achats de Noël, les ventes sur internet ont bondi de 26% par rapport à 2010. Jamais en 2011 les Américains n’avaient autant acheté en ligne : ils ont dépensé ce jour-là $816 millions sur l’internet. Le spécialiste des tendances dans le monde du digital, comScore, estime en outre que cinquante millions d’Américains ont cliqué sur le bouton “buy” vendredi dernier, soit 35% de plus que l’an dernier. Le cru 2011 de “Cyber Monday” n’a pas été mauvais non plus. Selon IBM Benchmark, les achats de lundi ont été de 15% supérieurs par rapport au même jour l’an dernier.
En 2010, les Américains ont dépensé sensiblement plus que les Français pour leurs achats en ligne. Aux Etats-Unis, d’après comScore, on a acheté pour $227,6 milliards de biens et services via l’Internet en 2010. La dépense moyenne a donc été de $728 par personne, soit 547€. Quant aux Français, ils ont dépensé 480€ par personne, soit 31 milliards d’euros au total, d’après la Fevad.
En revanche, la croissance des ventes internet est très supérieure en France. Dans l’Hexagone, l’année 2010 a représenté une croissance de 20% par rapport à l’année 2009 d’après la Fevad, alors qu’aux Etats-Unis on a observé une augmentation de seulement 9% d’après comScore. Si la croissance continue ainsi en France et aux Etats-Unis, il est donc probable que les Français rattrapent les Américains.
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En français, généralement, on évite d’écrire US. L’abréviation serait plutôt E-U. Ça fait mauvais genre
AMUSANT ( une guéguerre stimulante ) et réconfortant car , enfin, un sondage qui montre que la vie continue malgré les difficultés financières de ces derniers mois. Les genssont assez confiants et optimistes pour savoir que les questions d’argent sont TOUJOURS provoqués par les circonstances et que TOUT passe. Il suffit d’attendre que l’orage passe et de faire le gros dos en attendant que le “gros ” de l’orage passe.