(Article partenaire) “Commencez par fermer les yeux… L’intensité, la puissance des rires, du plaisir et de la joie y sont incomparables et inoubliables. Ouvrez les yeux, coupez le son : la joie sur les visages, l’énergie folle dépensée, l’amitié, l’exploration, l’engagement total, absolu : du plaisir à l’état pur”, conseille Frédéric Tavernier, le directeur de l’école maternelle de Rochambeau.
Pour le pédagogue, cette petite expérience est une façon de souligner l’essentiel: l’école maternelle est affaire de plaisirs. “Pour l’enfant, le jeu est une source et un vecteur d’apprentissage”, insiste-t-il. Ce principe est au coeur des programmes officiels français pour l’école maternelle et, donc des enseignements offerts par l’école maternelle Rochambeau The French International School, la seule école accréditée par l’éducation nationale dans la région de Washington DC.
Si l’enseignement va ici jusqu’au baccalauréat, offrant les avantages d’une éducation multilingue et multiculturelle, “l’école maternelle constitue une étape essentielle du parcours des élèves pour garantir leur réussite scolaire” souligne Frédéric Tavernier. C’est une école où les enfants vont apprendre ensemble et vivre ensemble. Ils y développent leur langage oral et commencent à découvrir les écrits, les nombres et d’autres domaines d’apprentissage. Ils apprennent en jouant, en réfléchissant et en résolvant des problèmes, en s’exerçant, en se remémorant et en mémorisant.
Cette préoccupation pour le bien-être des enfants, avec un programme scolaire adapté au rythme de l’enfant, offrant un équilibre entre les ateliers de travail, le temps libre, et les vacances rencontre d’ailleurs les recommendations des spécialistes. En août, l’académie américaine de pédiatrie a sonné l’alarme dans un rapport en s’inquiétant du recul du temps dédié au jeu dans la vie des tout-petits. Entre 1981 et 1997, les enfants âgés de 3 à 11 ans ont ainsi perdu 12 heures de temps de jeu par semaine.
A l’école maternelle Rochambeau, enseignants et équipe administrative se fixent pour mission principale “de donner envie aux enfants d’aller à l’école pour apprendre, affirmer et épanouir leur personnalité”. Mission accomplie disent les parents comme Erika Aparakakankanange: “Quand mes enfants jouent à Rochambeau, ils s’amusent tellement qu’ils ne réalisent pas toujours qu’ils apprennent des choses et pour des enfants comme les miens qui ne sont pas des locuteurs natifs, cela rend le processus d’immersion beaucoup plus facile (…) Je peux honnêtement dire que mes garçons aiment aller à l’école tous les jours et c’est une des nombreuses choses que nous aimons à Rochambeau”.
“Ce que j’aime, renchérit une autre mère d’élève, Sabine Durier, c’est que l’école associe le travail en classe, où toutes les activités sont intentionnelles, à de bons moments de pur temps libre, pendant les récréations, où les enfants jouent, et sont des enfants avant d’être des élèves.”
Citant Montaigne, Bénédicte Le Nouën Maurice, professeure en petite et moyenne section, note “un enfant n’est pas un vase qu’on remplit, mais un feu qu’on allume”, qu’on laisse grandir. “C’est important de laisser du temps libre aux enfants pour jouer, pour faire des choix. Ce temps libre n’est pas du temps perdu bien au contraire! Pendant ces moments de liberté, l’enfant cherche, réfléchit à quoi il pourrait jouer, il peut faire des choix, inventer, créer, aller vers les autres. De nombreuses compétences se construisent à ce moment là. Il ne faut pas que l’enfant soit toujours dans l’exécution, dans le faire, dans l’attente de directives, il faut qu’il puisse apprendre à penser par lui-même, à faire ses propres choix, à inventer, à créer…. et pour cela il a besoin d’oisiveté”.
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