(Article partenaire) Georges Forgeois se refuse à dire que sa côte de boeuf est la meilleure de New York – « ça serait prétentieux » – mais il n’en est pas peu fier.
Cela fait dix ans qu’il sert ce plat typiquement français à Cercle Rouge, l’un des restaurants du groupe Forgeois, et cela fait dix ans que les clients en redemandent. « On en vend des tonnes. Ça marche très bien. On en vend beaucoup à emporter aussi. Les Américains ont leurs rib eye steak, nous on a notre côte de boeuf. »
La viande provient de Greeley (Colorado) et a été sélectionnée par un boucher new-yorkais avec lequel Georges Forgeois, pionnier des bistrots français à New York, travaille depuis vingt cinq ans. « Il me trouve les meilleurs morceaux » . Vendue 89,50 dollars, elle vient accompagnée d’une sauce béarnaise, de gros sel de Bretagne, d’haricots et de pommes de terres. L’équipe de French Morning peut en témoigner: la viande est tendre, savoureuse et peut être aisément partagée à trois voire quatre personnes. Un plat simple pour un rapport qualité-prix imbattable selon le restaurateur, qui rappelle que celle de Balthazar coûte 140 dollars. « Cercle Rouge est une brasserie. Cela ne serait pas une brasserie sans côte de boeuf » , poursuit-il.
Il n’y pas que la viande dont le patron, aussi papa de Jules Bistro, Singe vert et Bar Tabac, veut mettre en avant. Fin mars, il va installer à Cercle Rouge un bar à huitres avec sept sièges. Au menu: des fruits de mer des deux côtes, des vins d’accompagnement, le tout supervisé par un barista qui expliquera aux clients l’origine des huitres servies. « On ne se contentera pas de poser l’assiette » , insiste Georges Forgeois. Une salle à champagne suivra.
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