Rendez-vous est donné à Balthazar, 11h. Ponctuel, Jean Reno débarque, lunettes de soleil sur le nez, dans le restaurant de Manhattan.
Il se met à l’aise, commande un pastis, regarde autour de lui. Alors qu’on commencait à penser qu’il passerait miraculeusement inaperçu dans ce lieu bondé de Français et de francophiles, il remarque qu’un client assis à une table voisine cherche à le photographier. A son insu. Erreur. “Léon” se réveille. “T’arrête ça tout de suite!“, lui lance-t-il, levant ses mains comme pour se cacher.
“Ca ne me gêne pas quand on me demande, mais comme ça, ça m’énerve“, confie un Reno contrarié.
(suite de l’article sous la vidéo)
JeanRenoOliveOil by frenchmorning
Les Américains le connaissent de super-productions comme Léon, The Da Vinci Code et Mission Impossible. Mais la star française, qui habite à New York, n’est pas venue parler de son dernier film, mais d’un rôle qu’il joue dans l’ombre en France: celui de producteur d’huile d’olive.
Propriétaire d’une résidence secondaire dans les environs de Maussane depuis 1991, cet amoureux de la Provence possède des oliviers qu’il utilise pour confectionner son huile au sein de la coopérative oléicole Moulin Jean-Marie Cornille. Il est d’ailleurs président des Amis du Moulin Jean-Marie Cornille, une association qui oeuvre à la promotion de la coopérative.
Avec l’aide d’Ariane Daguin, propriétaire de D’Artagnan, “reine du Foie Gras” aux Etats-Unis, l’acteur lance aujourd’hui son bébé – Réserve Jean Reno – dans plusieurs restaurants new-yorkais, dont Balthazar.
Son pitch? “Goutez-là“, glisse-t-il. Ce qu’il fera devant nous en avalant une gorgée de son huile.
“Conquérir” le marché américain, un grand mot, reconnaissent les deux compères, qui se sont rencontrés grâce à une amie commune (une certaine Laeticia Hallyday). L’huile étant distribuée en très faible quantité, comme en France, hors de question d’avoir des ambitions démesurées.
Pour l’acteur, il s’agit de faire découvrir un peu de Provence aux Américains. Il le fera d’ailleurs sur grand écran dès Pâques, avec la sortie américaine de son film Avis de Mistral, qui prend place dans les Alpilles. On arrosera ça à l’huile.
0 Responses
ïl “habite a New York” et y vend son huile… et ou paie t-il des impots?
Quand il dit qu’il y a 500 000 français à Londres : il fait peut être référence à Christian Clavier, exilé – fiscal – là-bas.
Bonjour a vous tous je suis Français né de pére militaire Américain et je vient de creer une nouvelle recette a base d olives et j aimerai la fabriquer et la vendre AUX ETATS UNIS mais comment faut il faire ^pour avoir un visa pou venir la fabriquer et s installer méme trouver un producteur d olives a manger et s associé aimerai avoir des renseignements et vous en remercie