Pour sa sixième édition, le festival In French With English Subtitles innove en lançant un “prix du public”.
La statuette a été créée par la sculptrice franco-new yorkaise Anne de Villeméjane. Elle sera remise aux auteurs du film choisi par les spectateurs du festival lors de la cérémonie de clôture, le soir du dimanche 23 novembre (voir ici la vidéo du making of de la statuette).
Fidèle à sa tradition, le festival accueillera une brochette de réalisateurs et d’acteurs qui viendront parler de leurs films: Anne Le Ny, Aure Atika, Marc Lavoine, Sylvie Testud, Fréderic Schoendoerffer, Pascal Elbé.
“Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu”, le blockbuster français de l’année 2014, sera diffusé pour la première fois à New York. Le film n’a en effet pas trouvé de distributeur pour sortir en salle aux Etats-Unis. La faute au « politiquement correct américain » s’était enflammée la presse française (Le Point, par exemple). La réalité est évidemment ailleurs, et cette réaction trahit surtout une méconnaissance de la société américaine -et de son humour, comme l’ont montré ici nos confrères de France Amérique: les Américains savent rire du racisme et de l’antisémitisme, merci pour eux. La comédie n’est simplement pas un produit d’exportation. Vous pourrez en tout cas en juger le dimanche 23 novembre à 5pm.
Auparavant, le festival aura ouvert le vendredi soir avec la première américaine de “On a failli être amies”, par Anne Le Ny, qui repondra ensuite aux questions de la salle.
Dimanche soir, il se terminera par la projection de “Papa was not a Rolling Stone”, de Sylvie Ohayon. Les deux acteurs vedette du film, Aure Atika et Marc Lavoine viendront ensuite discuter de leur film.
Le festival est co-présenté avec le Fiaf, Altour et French Feeling Films.
Voir le programme complet ici.
0 Responses
Chère Emmanuelle,
Merci pour votre article. Je me permets de rajouter quelques petits details. Les écoles homologuées ne reçoivent en effet pas de subventions de l’état francais, par contre les familles françaises ont la possibilité de demander des bourses à travers les consulats locaux, basées sur les revenus, et sur une évaluation des ces revenus. Celle-ci se basant sur les structures de l’état francais, certaines familles peuvent être pénalisées.
Les mêmes écoles privées depuis les dernières années signent une charte de partenariat et s’engager à payer une participation par élève aux services offerts par l’Agence de l’Enseignement Français à l’Etranger, soit directement, soit à travers son partenariat avec la Mission Laïque Francaise. Ceci est moins connu, mais appréciable pour les familles françaises. La valeur de l’engagement individuel et personnel de ces écoles envers leur mission est a souligner.
Les écoles de la zone de l’Amérique du Nord sont engagées directement dans la promotion d’une éducation française de qualité à travers ce soutien direct et partenariat avec l’AEFE. La dite contribution finance par exemple les formations professionnelles offertes sur la zone aux enseignants français, certains frais des inspecteurs et conseillers pédagogiques, etc.
J’ ai la DVD de Qu’ est-ce qu’ on a fait au bon dieu. Comedie facile basee sur des clichés bien communs. Il serait difficile de le vendre aux americains, memes les francophiles.